Un Guinéen, I. C. Camara, établi au Sénégal depuis longtemps, a voulu se faire des sous à travers les réseaux sociaux. Pour y arriver, il a créé plusieurs comptes Facebook et un compte WhatsApp, en ayant recours à plusieurs identités usurpées. Il a, après, commencé à rechercher des profils ‘’intéressants’’. Il est tombé sur une fille, une Centrafricaine, L. M. Regakouzou, à qui il a fait croire être une lesbienne.
Il s’était présenté à elle sous le nom de Sylva. Les deux discutaient et le courant passait. Au fil du temps, ‘’elles’’ sont parvenues à nouer une relation amoureuse solide et à distance avec sa fausse identité. Elles ont commencé à discuter de tout et de rien, avant d’arriver à échanger des photos nues. I. C. Camara téléchargeait des photos sur Internet qu’il envoyait à sa partenaire.
Ne se contentant plus des nudités de sa copine, il a voulu aller plus loin en ayant des rapports sexuels avec Mlle Regakouzou, au risque de se faire découvrir. A sa grande surprise, la fille lui a refusé cela et catégoriquement. Déterminé à satisfaire son appétit sexuel, il a commencé à la faire chanter, jurant de publier ses photos et vidéos à caractère obscène, au cas où elle ne passerait pas le voir. Malgré cela, la fille a campé sur sa position.
Pour mettre ses menaces à exécution, selon nos sources, M. Camara est parvenu à trouver, via Facebook, une des sœurs de Regakouzou qui se trouve au Cameroun. Il lui a envoyé des vidéos nues de sa frangine. Pour tirer cette affaire au clair et se faire justice, la présumée victime a saisi la Division spéciale de cybercriminalité (DSC) à travers une plainte. Le suspect a été localisé après des recherches par les hommes du commissaire Kandé, le patron de la DSC. Interpellé, il a été acheminé dans leurs locaux pour les besoins de l’audition.
Face aux enquêteurs, confient nos sources, M. Camara a tenté de se dédouaner. Il a confié que s’il a agi de la sorte, c’est parce qu’il est homosexuel. Une thèse qui n’a pas convaincu les enquêteurs qui ont décidé de le déférer au parquet pour les délits de chantage sexuel, collecte illicite et menace de diffusion de données à caractère personnel, faux et usage de faux.
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Il s’était présenté à elle sous le nom de Sylva. Les deux discutaient et le courant passait. Au fil du temps, ‘’elles’’ sont parvenues à nouer une relation amoureuse solide et à distance avec sa fausse identité. Elles ont commencé à discuter de tout et de rien, avant d’arriver à échanger des photos nues. I. C. Camara téléchargeait des photos sur Internet qu’il envoyait à sa partenaire.
Ne se contentant plus des nudités de sa copine, il a voulu aller plus loin en ayant des rapports sexuels avec Mlle Regakouzou, au risque de se faire découvrir. A sa grande surprise, la fille lui a refusé cela et catégoriquement. Déterminé à satisfaire son appétit sexuel, il a commencé à la faire chanter, jurant de publier ses photos et vidéos à caractère obscène, au cas où elle ne passerait pas le voir. Malgré cela, la fille a campé sur sa position.
Pour mettre ses menaces à exécution, selon nos sources, M. Camara est parvenu à trouver, via Facebook, une des sœurs de Regakouzou qui se trouve au Cameroun. Il lui a envoyé des vidéos nues de sa frangine. Pour tirer cette affaire au clair et se faire justice, la présumée victime a saisi la Division spéciale de cybercriminalité (DSC) à travers une plainte. Le suspect a été localisé après des recherches par les hommes du commissaire Kandé, le patron de la DSC. Interpellé, il a été acheminé dans leurs locaux pour les besoins de l’audition.
Face aux enquêteurs, confient nos sources, M. Camara a tenté de se dédouaner. Il a confié que s’il a agi de la sorte, c’est parce qu’il est homosexuel. Une thèse qui n’a pas convaincu les enquêteurs qui ont décidé de le déférer au parquet pour les délits de chantage sexuel, collecte illicite et menace de diffusion de données à caractère personnel, faux et usage de faux.
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