Adepte du langage ordurier pour, sans doute, masquer sa médiocrité et son incompétence, Yakham Mbaye a atteint les sommets de l'infamie, en accusant les femmes du "Soleil" d'être de mœurs légères. Pourquoi diantre Yakham Mbaye s'arroge-t-il le droit d'insulter et de calomnier les dignes travailleurs du "Soleil" ?
Lors d'une prise de gueule avec un agent d'une grande probité, qui ne pouvait supporter ses tristes élucubrations, il lui a balancé : "...C'est mieux que d'avoir des couilles bien grosses originales comme peut-être les vôtres qui vous servent à culbuter une femme mariée, pour ensuite aller faire ses ablutions, prier et enfin, se dandiner dans les couloirs de l'entreprise pour y semer ton venin".
C'est ainsi qu'il a humilié publiquement, un respectable père de famille. Cette calomnie grave et infondée, publiée dans le groupe WhatsApp du "Soleil", a vexé toutes les braves femmes de l'entreprise et porté atteinte à leur honneur, leur dignité.
Cette médisance montre à bien des égards, le degré de puérilité, d'irresponsabilité et d'immaturité d'un homme vomi par ses administrés et dont le cafardage, la médisance et la délation, restent les seules armes pour déstabiliser ses vis-à-vis.
C'est cela le quotidien de Yakham Mbaye, incapable de décliner une bonne vision pour "Le Soleil". Un Directeur général qui passe son temps à vilipender, à diffamer et à accabler d'injures ses agents, peut-il s'offusquer qu'on le traite de con ?
La réponse coule de source surtout quand, dans ce même groupe WhatsApp de près de 200 personnes, Yakham Mbaye se gargarise de sa vilenie, de sa grossièreté et de sa turpitude, en ces termes irrespectueux :
"Je fume, je bois, je fornique. Et je l'assume". "Le Soleil", une institution cinquantenaire, ne mérite pas un tel affront.
Le Collège des délégués du personnel du "Soleil"
Lors d'une prise de gueule avec un agent d'une grande probité, qui ne pouvait supporter ses tristes élucubrations, il lui a balancé : "...C'est mieux que d'avoir des couilles bien grosses originales comme peut-être les vôtres qui vous servent à culbuter une femme mariée, pour ensuite aller faire ses ablutions, prier et enfin, se dandiner dans les couloirs de l'entreprise pour y semer ton venin".
C'est ainsi qu'il a humilié publiquement, un respectable père de famille. Cette calomnie grave et infondée, publiée dans le groupe WhatsApp du "Soleil", a vexé toutes les braves femmes de l'entreprise et porté atteinte à leur honneur, leur dignité.
Cette médisance montre à bien des égards, le degré de puérilité, d'irresponsabilité et d'immaturité d'un homme vomi par ses administrés et dont le cafardage, la médisance et la délation, restent les seules armes pour déstabiliser ses vis-à-vis.
C'est cela le quotidien de Yakham Mbaye, incapable de décliner une bonne vision pour "Le Soleil". Un Directeur général qui passe son temps à vilipender, à diffamer et à accabler d'injures ses agents, peut-il s'offusquer qu'on le traite de con ?
La réponse coule de source surtout quand, dans ce même groupe WhatsApp de près de 200 personnes, Yakham Mbaye se gargarise de sa vilenie, de sa grossièreté et de sa turpitude, en ces termes irrespectueux :
"Je fume, je bois, je fornique. Et je l'assume". "Le Soleil", une institution cinquantenaire, ne mérite pas un tel affront.
Le Collège des délégués du personnel du "Soleil"