Le magistrat espagnol Baltasar Garzón, qui a arrêté Pinochet, est à Dakar pour soutenir ce qu’il appelle une avancée importante pour la justice dans le monde. « Baltasar Garzón est devenu un symbole de la justice internationale pour avoir fait arrêter l'ancien dictateur chilien Augusto Pinochet, en 1998, à Londres, au nom de la compétence universelle. Sa démarche a inspiré de nombreuses victimes à travers le monde, notamment les survivants tchadiens du régime de Hissène Habré – souvent surnommé le « Pinochet africain » - qui ont débuté en 1999 leur long combat pour le traduire en justice », lit-on dans le communiqué reçu par Leral.
On indique également dans le document que, « lorsqu’il était juge, il a traité des affaires ayant eu des répercussions mondiales comme les opérations contre le narcotrafic international, le terrorisme de l’Etat espagnol (Gal) et des indépendantistes basques d’Eta, et la répression sous la dictature des militaires argentins ».
Celui qui a enquêté, en 2009, sur les accusations portées contre l’administration Bush par quatre détenus espagnols de Guantanamo, va tenir une conférence de presse, ce lundi, à la fin de sa visite aux Chambres africaines extraordinaires. Dans ses conclusions préliminaires, Baltasar Garzón avait estimé qu'il existait « un plan autorisé et systématique de tortures et de mauvais traitements sur des personnes détenues sans preuves ».
Le tombeur de Pinochet est actuellement conseiller de nombreux Etats en matière de droits humains. Il est également l’avocat du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange. Son action pour la justice a été reconnue par 25 titres de Docteur honoris causa dans des universités du monde entier.
On indique également dans le document que, « lorsqu’il était juge, il a traité des affaires ayant eu des répercussions mondiales comme les opérations contre le narcotrafic international, le terrorisme de l’Etat espagnol (Gal) et des indépendantistes basques d’Eta, et la répression sous la dictature des militaires argentins ».
Celui qui a enquêté, en 2009, sur les accusations portées contre l’administration Bush par quatre détenus espagnols de Guantanamo, va tenir une conférence de presse, ce lundi, à la fin de sa visite aux Chambres africaines extraordinaires. Dans ses conclusions préliminaires, Baltasar Garzón avait estimé qu'il existait « un plan autorisé et systématique de tortures et de mauvais traitements sur des personnes détenues sans preuves ».
Le tombeur de Pinochet est actuellement conseiller de nombreux Etats en matière de droits humains. Il est également l’avocat du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange. Son action pour la justice a été reconnue par 25 titres de Docteur honoris causa dans des universités du monde entier.