Le président de la Chambre des métiers de Tambacounda, M. Abdoulaye Sarr, est-il tombé sous le charme de cette charmante « hôtesse » au point de la recruter ? En tout cas, le recrutement qualifié d’« illégal » de cette fille « full option », a provoqué au sein de l’institution un mouvement d’humeur paralysant toutes les activités. Car depuis plusieurs jours, agents et artisans agitent des brassards rouges pour dénoncer l’arrivée de cette « belle » demoiselle, n’ayant aucun profil de l’emploi pour être recrutée.
Ce recrutement est d’autant moins le bienvenu, en effet, que les agents de la Chambre des métiers de Tambacounda peinent à percevoir leurs salaires du mois de janvier. Par conséquent, ils se demandent comment le président de leur institution consulaire peut-il justifier un tel recrutement pour une institution qui traverse une crise de gestion ? Face à cette situation catastrophique doublée d’une bamboula, nous souffle-t-on, le secrétaire général Youssoupha Barro a pris son courage à deux mains, pour déclarer irrecevable ce recrutement au forceps ou à la beauté.
Ce, compte tenu des dispositions réglementaires qui régissent les chambres des métiers du Sénégal. Ce qu’il faut également déplorer dans cette crise, c’est le manque d’autorité du gouverneur et du préfet de Tambacounda, qui pouvaient annuler ce recrutement « fashion » d’une Adji Sarr version orientale. Et surtout, faire revenir le président Abdoulaye Sarr à la raison. En tout cas, le ministre de l’Artisanat Pape Amadou Ndiaye est interpellé !
Le Témoin
Ce recrutement est d’autant moins le bienvenu, en effet, que les agents de la Chambre des métiers de Tambacounda peinent à percevoir leurs salaires du mois de janvier. Par conséquent, ils se demandent comment le président de leur institution consulaire peut-il justifier un tel recrutement pour une institution qui traverse une crise de gestion ? Face à cette situation catastrophique doublée d’une bamboula, nous souffle-t-on, le secrétaire général Youssoupha Barro a pris son courage à deux mains, pour déclarer irrecevable ce recrutement au forceps ou à la beauté.
Ce, compte tenu des dispositions réglementaires qui régissent les chambres des métiers du Sénégal. Ce qu’il faut également déplorer dans cette crise, c’est le manque d’autorité du gouverneur et du préfet de Tambacounda, qui pouvaient annuler ce recrutement « fashion » d’une Adji Sarr version orientale. Et surtout, faire revenir le président Abdoulaye Sarr à la raison. En tout cas, le ministre de l’Artisanat Pape Amadou Ndiaye est interpellé !
Le Témoin