Cinq sites pornographiques - Pornhub, Tukif, Xhamster, Xvideos, Xnxx - ont été sommés par le Conseil supérieur de l’Audiovisuel (CSA) d’empêcher leur accès aux mineurs, selon les mises en demeure publiées ce lundi 13 décembre sur le site du régulateur.
“Le régulateur assure, conformément à la loi, sa mission de protection des mineurs. (...) Avec ces décisions, nous en appelons à la responsabilité des opérateurs qui se doivent de mettre en place les dispositifs nécessaires pour empêcher l’accès des mineurs à leurs contenus”, a déclaré à l’AFP le CSA.
En cas de non-respect de cette obligation dans les 15 jours, les sites s’exposent à un blocage de leur accès.
“Un mineur, et en particulier un enfant qui se retrouve devant des contenus inadaptés, tels que les contenus pornographiques, peut être durablement, et a minima, choqué”, a argué le régulateur.
Le code pénal interdit d’exposer les mineurs à des photos et vidéos pornographiques et la loi sur les violences conjugales du 30 juillet 2020 précise que les sociétés concernées ne peuvent s’exonérer de leurs responsabilités en se contentant de demander à un internaute s’il est majeur.
“Le régulateur assure, conformément à la loi, sa mission de protection des mineurs. (...) Avec ces décisions, nous en appelons à la responsabilité des opérateurs qui se doivent de mettre en place les dispositifs nécessaires pour empêcher l’accès des mineurs à leurs contenus”, a déclaré à l’AFP le CSA.
En cas de non-respect de cette obligation dans les 15 jours, les sites s’exposent à un blocage de leur accès.
“Un mineur, et en particulier un enfant qui se retrouve devant des contenus inadaptés, tels que les contenus pornographiques, peut être durablement, et a minima, choqué”, a argué le régulateur.
Le code pénal interdit d’exposer les mineurs à des photos et vidéos pornographiques et la loi sur les violences conjugales du 30 juillet 2020 précise que les sociétés concernées ne peuvent s’exonérer de leurs responsabilités en se contentant de demander à un internaute s’il est majeur.