Selon M. Ryuichi Kato, représentant résidant de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica) qui finance le projet, « la réalisation de ces quais de pêche va contribuer à l’amélioration de la qualité sanitaire et à la promotion de la gestion durable des ressources ». Pour lui, « ces quais qui vont être agréés pour l’exploitation vers les pays de l’Union Européenne vont aussi permettre aux villages voisins de Ngaparou et de Pointe Sarène de débarquer leurs produits de pêche sur place pour bénéficier de certificats d’exploitation », indique M. Kato.
Les travaux de cet ouvrage vont durer 7 mois, et le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Oumar Guèye, de rappeler qu’il va permettre « à coup sûr, de renforcer la qualité hygiénique et sanitaire des produits et d’améliorer les conditions de travail des acteurs et la rente des produits », a fait savoir le ministre qui exhorte l’entreprise en charge des travaux du quai à « veiller au respect scrupuleux des clauses contractuelles relatives aux délais d’exécution et à la qualité de l’ouvrage ». Il n’a pas manqué d’indiquer que les autorités administratives de la région de Thiès mettront à contribution les services techniques déconcentrés compétents pour le suivi régulier du chantier.
De leur côté, les maires de Ngaparou, de Malicounda mais aussi les représentantes de femmes des deux localités ont dit toute leur satisfaction par rapport à ce joyau qui, une fois opérationnel, va leur permettre de travailler dans les conditions les meilleures afin d’avoir des produits halieutiques compétitifs sur le marché. Pour eux, cette initiative montre l'importance que le président de la République et son gouvernement accordent au secteur de la pêche, mais aussi aux populations de la Petite Côte.
Pour rappel, le coût global du quai s’élève à 420 millions de nos francs et va comprendre un bloc administratif, une aire de stockage, une aire de prétraitement des gastéropodes, une aire de pesage, une aire de conditionnement, un abri de repos et un parking pour camions.
Mariama Kobar Saleh
Les travaux de cet ouvrage vont durer 7 mois, et le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Oumar Guèye, de rappeler qu’il va permettre « à coup sûr, de renforcer la qualité hygiénique et sanitaire des produits et d’améliorer les conditions de travail des acteurs et la rente des produits », a fait savoir le ministre qui exhorte l’entreprise en charge des travaux du quai à « veiller au respect scrupuleux des clauses contractuelles relatives aux délais d’exécution et à la qualité de l’ouvrage ». Il n’a pas manqué d’indiquer que les autorités administratives de la région de Thiès mettront à contribution les services techniques déconcentrés compétents pour le suivi régulier du chantier.
De leur côté, les maires de Ngaparou, de Malicounda mais aussi les représentantes de femmes des deux localités ont dit toute leur satisfaction par rapport à ce joyau qui, une fois opérationnel, va leur permettre de travailler dans les conditions les meilleures afin d’avoir des produits halieutiques compétitifs sur le marché. Pour eux, cette initiative montre l'importance que le président de la République et son gouvernement accordent au secteur de la pêche, mais aussi aux populations de la Petite Côte.
Pour rappel, le coût global du quai s’élève à 420 millions de nos francs et va comprendre un bloc administratif, une aire de stockage, une aire de prétraitement des gastéropodes, une aire de pesage, une aire de conditionnement, un abri de repos et un parking pour camions.
Mariama Kobar Saleh