Lorsque l’on est pensionnaire de la Masia du Barça et que Cristiano Ronaldo est son idole, on risque de le payer cher. À preuve, Keïta Diao Baldé a dû longtemps cacher que le n°7 du rival madrilène était dans son cœur.
Sa mère, Maïmouna Baldé, dans Les Échos, raconte : « Il ne voulait pas que les gens le sachent parce que très jeune, il a compris la rivalité entre les deux clubs. Étant pensionnaire du Barça, Keïta Baldé ne pouvait se permettre de déambuler avec le maillot de son idole, mais il gardait dans sa chambre des posters de CR7. »
Mais Diao Baldé ne s’est pas contenté d’adorer l’attaquant portugais, il essayait d’exceller comme lui, ce qui lui a valu un surnom qui faisait tache en Catalogne.
« Il jouait tellement bien que les enfants qu’il fréquentait et les gens du quartier l’ont surnommé ‘Cristiano negro’, c’est comme cela que les gens l’appelaient en Espagne », révèle Maïmouna Baldé.
Sa mère, Maïmouna Baldé, dans Les Échos, raconte : « Il ne voulait pas que les gens le sachent parce que très jeune, il a compris la rivalité entre les deux clubs. Étant pensionnaire du Barça, Keïta Baldé ne pouvait se permettre de déambuler avec le maillot de son idole, mais il gardait dans sa chambre des posters de CR7. »
Mais Diao Baldé ne s’est pas contenté d’adorer l’attaquant portugais, il essayait d’exceller comme lui, ce qui lui a valu un surnom qui faisait tache en Catalogne.
« Il jouait tellement bien que les enfants qu’il fréquentait et les gens du quartier l’ont surnommé ‘Cristiano negro’, c’est comme cela que les gens l’appelaient en Espagne », révèle Maïmouna Baldé.