Amadou Bâ, Aly Ngouille Ndiaye et Makhtar Cissé ne font plus partie du gouvernement. Que leur reproche Macky Sall ?
Pour le cas de l’ex- ministre des affaires étrangères, L’Observateur renseigne qu’on lui prête des ambitions présidentielles. De plus, Amadou Bâ avait adopté une sorte de relâchement sur le plan politique et ne défendait plus le Président comme il le faisait. Un manque d’implication bien ressenti par Macky Sall qui a décidé de ne pas le reconduire.
Aly Ngouille Ndiaye, à qui l’on prête aussi une ambition présidentielle, a été décrié pour sa gestion dans le cadre de la Covid-19.
Quant à Makhtar Cissé, il semble être emporté par l’affaire Akilee. Un dossier sulfureux dans lequel le DG de la Senelec, Papa Mademba Bitèye, lui reproche une certaine légèreté dans la signature du contrat.
Makhtar Cissé serait également décrié pour la réorganisation impopulaire de Petrosen et la situation de blocage de la SAR.
Pis, son absence remarquée au Conseil présidentiel sur le PSE n’aurait pas, non plus, plu au chef de l’État. Ce jour, la question du secteur énergétique n’a pas été débattu.
Et, pour ne pas arranger les choses, une certaine rumeur lui prêterait une ambition présidentielle.
Pour le cas de l’ex- ministre des affaires étrangères, L’Observateur renseigne qu’on lui prête des ambitions présidentielles. De plus, Amadou Bâ avait adopté une sorte de relâchement sur le plan politique et ne défendait plus le Président comme il le faisait. Un manque d’implication bien ressenti par Macky Sall qui a décidé de ne pas le reconduire.
Aly Ngouille Ndiaye, à qui l’on prête aussi une ambition présidentielle, a été décrié pour sa gestion dans le cadre de la Covid-19.
Quant à Makhtar Cissé, il semble être emporté par l’affaire Akilee. Un dossier sulfureux dans lequel le DG de la Senelec, Papa Mademba Bitèye, lui reproche une certaine légèreté dans la signature du contrat.
Makhtar Cissé serait également décrié pour la réorganisation impopulaire de Petrosen et la situation de blocage de la SAR.
Pis, son absence remarquée au Conseil présidentiel sur le PSE n’aurait pas, non plus, plu au chef de l’État. Ce jour, la question du secteur énergétique n’a pas été débattu.
Et, pour ne pas arranger les choses, une certaine rumeur lui prêterait une ambition présidentielle.