Les opérations militaires dans le Nord-Sindian ont provoqué le déplacement de plus de 6000 personnes, selon les autorités gambiennes.
Un mouvement de population qui a entraîné la fermeture d’une trentaine d’écoles élémentaires et de collèges.
Dans les colonnes de Les Échos, l’Inspecteur d’académie de Ziguinchor (IAZ), Cheikh Faye, informe que les principales zones concernées sont Djibidione, Oulampane et Sindian.
Pour faire face à cette situation, l’Inspection d’académie de Ziguinchor a pris quelques dispositions.
«Nous avons mis en place un dispositif d’accueil et d’intégration dans les structures correspondant à leurs niveaux respectifs, informe Cheikh Faye. Ils ont été tous intégrés dans les écoles de Bignona, Djibidione, Sindian et Oulampane.»
Et au cas où les déplacements de populations se poursuivent, d’autres mesures sont envisagées.
«Si le flux augmente, indique l’IAZ, nous verrons avec les autorités locales. On est en train de voir la possibilité de mettre en place des classes spéciales pour les accueillir en y déployant les maîtres qui ont fait le déplacement avec eux, parce que beaucoup d’enseignants ont quitté la zone.»
Un mouvement de population qui a entraîné la fermeture d’une trentaine d’écoles élémentaires et de collèges.
Dans les colonnes de Les Échos, l’Inspecteur d’académie de Ziguinchor (IAZ), Cheikh Faye, informe que les principales zones concernées sont Djibidione, Oulampane et Sindian.
Pour faire face à cette situation, l’Inspection d’académie de Ziguinchor a pris quelques dispositions.
«Nous avons mis en place un dispositif d’accueil et d’intégration dans les structures correspondant à leurs niveaux respectifs, informe Cheikh Faye. Ils ont été tous intégrés dans les écoles de Bignona, Djibidione, Sindian et Oulampane.»
Et au cas où les déplacements de populations se poursuivent, d’autres mesures sont envisagées.
«Si le flux augmente, indique l’IAZ, nous verrons avec les autorités locales. On est en train de voir la possibilité de mettre en place des classes spéciales pour les accueillir en y déployant les maîtres qui ont fait le déplacement avec eux, parce que beaucoup d’enseignants ont quitté la zone.»