Invitée de l’émission "Objection" de la radio Sudfm hier, dimanche 17 septembre 2023, la Coordinatrice adjointe de la plateforme « Avenir Sénégal Bi Ñu Beug », a par ailleurs prévenu au sujet des persécutions sur l’opposition, interdite depuis quelques temps de manifestation et les tirs à balles réelles sur des manifestants, que tôt ou tard, il y aura des comptes.
L’opposition réunie au sein de la coalition Yewwi Askan wi est-elle en train de travailler sur un projet de candidature unique à la présidentielle du 25 février prochain, après sa liste unique lors des élections territoriales et législatives ? Tout porte à le croire.
En effet, invitée de l’émission "Objectionv de la radio Sudfm (privée) hier, dimanche 17 septembre, la coordinatrice adjointe de la plateforme « Avenir Sénégal Bi Ñu Beug », Fatou Blondin Diop a laissé entendre sans donner plus de détails, que des partis et des mouvements membres de Yewwi Askan wi travaillent actuellement, à créer une dynamique dans ce sens.
« On est au temps de la stratégie, des discussions et de la négociation. Une fois que c’est acté et bétonné, on pourra communiquer », a-t-elle réagi, face à une interpellation de notre confrère Baye Oumar Guèye, portant sur l’existence ou non d’un projet de candidature unique au sein de Yewwi Askan wi.
Par ailleurs, revenant sur les interdictions systématiques des manifestations projetées par le F24, Fatou Blondin Diop par ailleurs membre de cette plateforme des Forces vives de la nation, a indiqué que la persécution de l’opposition est du fait qu’elle a « voulu être républicaine, rester dans la légalité et honorer nos institutions malgré leurs insuffisances parce qu’un jour, nous souhaitons être choisis par les Sénégalais pour les gérer ».
« Que ce soit la Justice, que ce soit l’Assemblée nationale, que ce soit l’Administration territoriale, nous voulons leur donner leurs lettres de noblesse et nous voulons laisser à Macky Sall et à son équipe, la responsabilité de les décrédibiliser. La responsabilité historique d’être l’acteur de la dé-crédibilisation de ces institutions et nous notons chaque fait », a-t-elle fait remarquer, avant de prévenir.
« L’opposition est cernée de toutes parts par le régime actuel. Mais, ils rendront des comptes d’une façon ou d’une autre. La culture de l’impunité, il faut que ça s’arrête. Le magistrat qui prend des charges qui font que la personne est mise sous mandat de dépôt, il doit rendre des comptes. Ce n’est pas la République des magistrats. Le Préfet et le Sous-préfet qui prend un arrêté pour donner l’ordre de tirer des balles réelles, lors des manifestations, sur les gens qui meurent, que ce soit, en mars 2021, juin 2023 ou à Khossanto à Kédougou, tôt ou tard, il y aura des comptes ».
Sudquotidien.sn
L’opposition réunie au sein de la coalition Yewwi Askan wi est-elle en train de travailler sur un projet de candidature unique à la présidentielle du 25 février prochain, après sa liste unique lors des élections territoriales et législatives ? Tout porte à le croire.
En effet, invitée de l’émission "Objectionv de la radio Sudfm (privée) hier, dimanche 17 septembre, la coordinatrice adjointe de la plateforme « Avenir Sénégal Bi Ñu Beug », Fatou Blondin Diop a laissé entendre sans donner plus de détails, que des partis et des mouvements membres de Yewwi Askan wi travaillent actuellement, à créer une dynamique dans ce sens.
« On est au temps de la stratégie, des discussions et de la négociation. Une fois que c’est acté et bétonné, on pourra communiquer », a-t-elle réagi, face à une interpellation de notre confrère Baye Oumar Guèye, portant sur l’existence ou non d’un projet de candidature unique au sein de Yewwi Askan wi.
Par ailleurs, revenant sur les interdictions systématiques des manifestations projetées par le F24, Fatou Blondin Diop par ailleurs membre de cette plateforme des Forces vives de la nation, a indiqué que la persécution de l’opposition est du fait qu’elle a « voulu être républicaine, rester dans la légalité et honorer nos institutions malgré leurs insuffisances parce qu’un jour, nous souhaitons être choisis par les Sénégalais pour les gérer ».
« Que ce soit la Justice, que ce soit l’Assemblée nationale, que ce soit l’Administration territoriale, nous voulons leur donner leurs lettres de noblesse et nous voulons laisser à Macky Sall et à son équipe, la responsabilité de les décrédibiliser. La responsabilité historique d’être l’acteur de la dé-crédibilisation de ces institutions et nous notons chaque fait », a-t-elle fait remarquer, avant de prévenir.
« L’opposition est cernée de toutes parts par le régime actuel. Mais, ils rendront des comptes d’une façon ou d’une autre. La culture de l’impunité, il faut que ça s’arrête. Le magistrat qui prend des charges qui font que la personne est mise sous mandat de dépôt, il doit rendre des comptes. Ce n’est pas la République des magistrats. Le Préfet et le Sous-préfet qui prend un arrêté pour donner l’ordre de tirer des balles réelles, lors des manifestations, sur les gens qui meurent, que ce soit, en mars 2021, juin 2023 ou à Khossanto à Kédougou, tôt ou tard, il y aura des comptes ».
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