Une femme âgée d’une quarantaine d’années est morte subitement à l’hôpital de district de Biyem-Assi à Yaoundé après s’être fait défriser les cheveux par sa fille, selon la presse Camerounaise. Selon les témoignages de la jeune fille éplorée, sa mère lui aurait demandé de lui défriser les cheveux avec un produit dénommé « Dallas » vendu à 500F, très prisé par les Camerounaises en raison de son coût dérisoire et de la rapidité de son action.
Cependant, la dame aurait presque aussitôt commencé à ressentir des douleurs sur le cuir chevelu et a poussé des cris en demandant qu’on lui lave la tête. Malgré un rinçage à grande eau, la douleur s’est propagée quitte à faire perdre connaissance à la dame. Emmenée rapidement à l’hôpital par sa fille, la femme selon le personnel soignant est morte avant son arrivée au centre de santé de Biyem-Assi à Yaoundé .
D’après un employé de l’hôpital, ce serait le troisième incident de ce genre : “Un jeune homme a déjà perdu la vie après avoir appliqué de la teinture sur ses cheveux. Il est arrivé ici avec la tête enflée et l’on n’a rien pu faire pour le sauver.” Une autre dame serait morte après un défrisage dans les mêmes conditions, selon cette source médicale.Au Cameroun le défrisage dit “à chaux,” fait à base de produits de fabrication locale sans réglementation, moins cher et rapide est prisé par les femmes. Pourtant les cas de brûlures à divers degrés, de dégâts au niveau des cheveux et du cuir chevelu sont légions.
Sources : AregiaLedis
Cependant, la dame aurait presque aussitôt commencé à ressentir des douleurs sur le cuir chevelu et a poussé des cris en demandant qu’on lui lave la tête. Malgré un rinçage à grande eau, la douleur s’est propagée quitte à faire perdre connaissance à la dame. Emmenée rapidement à l’hôpital par sa fille, la femme selon le personnel soignant est morte avant son arrivée au centre de santé de Biyem-Assi à Yaoundé .
D’après un employé de l’hôpital, ce serait le troisième incident de ce genre : “Un jeune homme a déjà perdu la vie après avoir appliqué de la teinture sur ses cheveux. Il est arrivé ici avec la tête enflée et l’on n’a rien pu faire pour le sauver.” Une autre dame serait morte après un défrisage dans les mêmes conditions, selon cette source médicale.Au Cameroun le défrisage dit “à chaux,” fait à base de produits de fabrication locale sans réglementation, moins cher et rapide est prisé par les femmes. Pourtant les cas de brûlures à divers degrés, de dégâts au niveau des cheveux et du cuir chevelu sont légions.
Sources : AregiaLedis