L’affaire est sur toutes les lèvres à Darou Marnane, dans l’arrondissement de Darou Mousty. Dans cette cité religieuse, toutes les discussions tournent autour du cambriolage perpétré, vendredi dernier, au bureau de poste local.
D’après des sources très proches de cette histoire qui n’a pas fini de révéler tous ces secrets, les faits ont eu lieu vers 14 heures, au moment où la plupart des riverains sacrifient à la prière hebdomadaire. Mais deux jeunes avaient déjà mûri leur plan de cambrioler le bureau de poste.
Maîtrisant parfaitement la configuration des lieux, A. P, agent de ladite boite et son ami, M. N, ont escalé le mur de clôture, avant de défoncer la porte de derrière, pour accéder à l’intérieur des locaux. Ils avaient ainsi les coudées franches, pour s’emparer d’une somme estimée à plus d’un million de nos francs. Apres s’être servis à souhait, les deux visiteurs indésirables sont retournés sur leurs pas, escaladant à nouveau le mur de clôture.
Le cambriolage sera découvert peu après, par un agent qui a failli tomber à la renverse, contestant la disparition de la somme qu’il avait gardée dans sa caisse à l’heure de la pause. Il a vite compris qu’il s’agissait d’un vol, en voyant la porte défoncée. Voulant tirer au clair cette affaire, le chef du bureau a informé les éléments de la brigade de gendarmerie de Darou Mousty.
Les hommes du commandant Thierno Diouf, se transportent sur place et relèvent quelques indices en vue de l’ouverture d’une enquête. Rompus à la tâche, les hommes en bleu, qui ont vu que les voleurs n’ont défoncé aucune caisse, ont porté leur premier soupçon sur un des agents de la boîte. Mieux, ils exploitent les empreintes de pas laissés par les cambrioleurs, lorsqu’ils battaient en retraite. Cette option portera ses fruits, car 48 heures après les faits, le caissier, A. P et son ami, M. N, sur qui, pesaient de forts soupçons, ont été arrêtés. Entendu, le postier a nié en bloc, mais il sera enfoncé par son acolyte qui l’accuse d’avoir tout planifié. Ils ont été déférés hier, au parquet de Louga.
L’Observateur
D’après des sources très proches de cette histoire qui n’a pas fini de révéler tous ces secrets, les faits ont eu lieu vers 14 heures, au moment où la plupart des riverains sacrifient à la prière hebdomadaire. Mais deux jeunes avaient déjà mûri leur plan de cambrioler le bureau de poste.
Maîtrisant parfaitement la configuration des lieux, A. P, agent de ladite boite et son ami, M. N, ont escalé le mur de clôture, avant de défoncer la porte de derrière, pour accéder à l’intérieur des locaux. Ils avaient ainsi les coudées franches, pour s’emparer d’une somme estimée à plus d’un million de nos francs. Apres s’être servis à souhait, les deux visiteurs indésirables sont retournés sur leurs pas, escaladant à nouveau le mur de clôture.
Le cambriolage sera découvert peu après, par un agent qui a failli tomber à la renverse, contestant la disparition de la somme qu’il avait gardée dans sa caisse à l’heure de la pause. Il a vite compris qu’il s’agissait d’un vol, en voyant la porte défoncée. Voulant tirer au clair cette affaire, le chef du bureau a informé les éléments de la brigade de gendarmerie de Darou Mousty.
Les hommes du commandant Thierno Diouf, se transportent sur place et relèvent quelques indices en vue de l’ouverture d’une enquête. Rompus à la tâche, les hommes en bleu, qui ont vu que les voleurs n’ont défoncé aucune caisse, ont porté leur premier soupçon sur un des agents de la boîte. Mieux, ils exploitent les empreintes de pas laissés par les cambrioleurs, lorsqu’ils battaient en retraite. Cette option portera ses fruits, car 48 heures après les faits, le caissier, A. P et son ami, M. N, sur qui, pesaient de forts soupçons, ont été arrêtés. Entendu, le postier a nié en bloc, mais il sera enfoncé par son acolyte qui l’accuse d’avoir tout planifié. Ils ont été déférés hier, au parquet de Louga.
L’Observateur