Yewwi est dans l’encolure de la folie politique, nous devons faire face par tous les moyens
Depuis l’avènement de Pastef et par ricochet la création de Yewwi Askan Wi, le Sénégal est tombé dans l’encolure de la folie politique. Au pays des pionniers et des illuminés fondateurs d’une Nation civilisée, la quête du pouvoir rend fou à Yewwi Askan Wi composée d’un jeune politicien artificiel, - je veux nommer Ousmane Sonko-, et d’un arsenal de has-been, dont le regard du rétroviseur illustrerait des amas de forfaitures, de délits et d’infractions. Ces gens de Yewwi ont tous à leurs actifs des ignominies. Mais la démagogie, la serviabilité et la perfidie les couvent et les couvrent
Avec l’avènement de Pastef et de Yewwi, jamais le champ politique sénégalais n’a été aussi malpropre et encrassé. Ces aspirants au pouvoir exécutif injurient. C’est l’abdication de l’éthique politique. Une première dans l’histoire politique du Sénégal.
La République du Sénégal est blessée. A Yewwi notamment à Pastef, le mensonge n’est plus une bassesse. Le reniement n’est plus une abjection. Voulant l’effacement du président Macky Sall, ils sont prêts à tout dire et à tout faire. Faut-il les suivre ou les applaudir ? Ce serait apporter à caution à l’abdication de l’éthique politique.
Le Sénégal a toujours été loué pour son opposition républicaine. Le pays n’a jamais connu de dictature formelle. Aujourd’hui, les Forces Armées républicaines, loyales, scrupuleuses et bienséantes et la justice sont injuriées. Yewwi offre une image hideuse : insultes, atteintes à la dignité humaine et à l’intégrité physique, calomnie, attaque incivile et malotrues contre les Institutions de la République. De mémoire d’homme, il a rarement été vu un politicien sénégalais menacer de façon aussi ouverte des institutions comme la Justice ou le pouvoir exécutif, sans être inquiété.
Pourtant, les antagonismes doivent être rythmés d’idées, de propositions et de contre-proposition sur fond de communication politique intelligente et respectueuse. Mais l’opposition avec Yewwi Askan Wi renvoie l’image d’un conglomérats d’aigris et de comédiens qui ne sont animés que par des Tartuffes imparfaits.
Yewwi a annoncé des séries de manifestations les 14 et 15 mars 2023 sur les 46 départements du pays. Ousmane Sonko et ses vizirs veulent mettre le pays sens dessous sens dessous. Mais il est impérieux de combattre Sonko et Yewwi. C'est est un devoir et il faut lescombattre par tous les moyens.
J’invite mes camarades de la coalition BBY de mouiller le maillot pour rendre au président la pièce de sa monnaie. Il est anormal que des DG, PCA et ministres adoptent le silence au moment où le chef de l’Etat est attaqué à tout bout de champ. Nous devons faire face et nous ferons face.
Quant à Alioune Tine, c’est un pyromane encagoulé de la société civile qui voit dans un éventuel procès de Sonko avec Adji Sarr, les germes d’une future «guerre civile. Alioune Tine est un «rentier de la tension» qui ne cesse de révéler son projet de faire du chaos son fonds de commerce pour être au centre de médiations dont il sera le seul à bénéficier.
Mouhamadou Lamine Massaly,
PCA ONFP,
PRESIDENT DU PARTI UNR
Depuis l’avènement de Pastef et par ricochet la création de Yewwi Askan Wi, le Sénégal est tombé dans l’encolure de la folie politique. Au pays des pionniers et des illuminés fondateurs d’une Nation civilisée, la quête du pouvoir rend fou à Yewwi Askan Wi composée d’un jeune politicien artificiel, - je veux nommer Ousmane Sonko-, et d’un arsenal de has-been, dont le regard du rétroviseur illustrerait des amas de forfaitures, de délits et d’infractions. Ces gens de Yewwi ont tous à leurs actifs des ignominies. Mais la démagogie, la serviabilité et la perfidie les couvent et les couvrent
Avec l’avènement de Pastef et de Yewwi, jamais le champ politique sénégalais n’a été aussi malpropre et encrassé. Ces aspirants au pouvoir exécutif injurient. C’est l’abdication de l’éthique politique. Une première dans l’histoire politique du Sénégal.
La République du Sénégal est blessée. A Yewwi notamment à Pastef, le mensonge n’est plus une bassesse. Le reniement n’est plus une abjection. Voulant l’effacement du président Macky Sall, ils sont prêts à tout dire et à tout faire. Faut-il les suivre ou les applaudir ? Ce serait apporter à caution à l’abdication de l’éthique politique.
Le Sénégal a toujours été loué pour son opposition républicaine. Le pays n’a jamais connu de dictature formelle. Aujourd’hui, les Forces Armées républicaines, loyales, scrupuleuses et bienséantes et la justice sont injuriées. Yewwi offre une image hideuse : insultes, atteintes à la dignité humaine et à l’intégrité physique, calomnie, attaque incivile et malotrues contre les Institutions de la République. De mémoire d’homme, il a rarement été vu un politicien sénégalais menacer de façon aussi ouverte des institutions comme la Justice ou le pouvoir exécutif, sans être inquiété.
Pourtant, les antagonismes doivent être rythmés d’idées, de propositions et de contre-proposition sur fond de communication politique intelligente et respectueuse. Mais l’opposition avec Yewwi Askan Wi renvoie l’image d’un conglomérats d’aigris et de comédiens qui ne sont animés que par des Tartuffes imparfaits.
Yewwi a annoncé des séries de manifestations les 14 et 15 mars 2023 sur les 46 départements du pays. Ousmane Sonko et ses vizirs veulent mettre le pays sens dessous sens dessous. Mais il est impérieux de combattre Sonko et Yewwi. C'est est un devoir et il faut lescombattre par tous les moyens.
J’invite mes camarades de la coalition BBY de mouiller le maillot pour rendre au président la pièce de sa monnaie. Il est anormal que des DG, PCA et ministres adoptent le silence au moment où le chef de l’Etat est attaqué à tout bout de champ. Nous devons faire face et nous ferons face.
Quant à Alioune Tine, c’est un pyromane encagoulé de la société civile qui voit dans un éventuel procès de Sonko avec Adji Sarr, les germes d’une future «guerre civile. Alioune Tine est un «rentier de la tension» qui ne cesse de révéler son projet de faire du chaos son fonds de commerce pour être au centre de médiations dont il sera le seul à bénéficier.
Mouhamadou Lamine Massaly,
PCA ONFP,
PRESIDENT DU PARTI UNR