Qui dit grosse soirée dit gros lourd ! Malheureusement, les deux parties de cette équation sont souvent difficiles à dissocier, un peu à l’image des frites et des calories. Pour vous débarrasser de ce malotru qui pense que ses blagues sont irrésistibles tandis que vous pensez que son haleine est proche de celle d’un fennec, suivez nos 10 conseils pour l’éconduire avec panache et efficacité.
Les directes
« Je ne suis pas intéressée, bonne fin de soirée ». Simple, concis et efficace ! Prononcez ces mots en le regardant droit dans les yeux, puis retournez à vos petites affaires comme s’il n’avait jamais existé. Attention, ne dîtes pas un mot supplémentaire, vous pourriez briser le charme. PAS UN SEUL !
«Qu’est-ce qu’on s’ennuie ce soir, il n’y a aucun beau mec ». Dîtes-le de préférence en baillant et l’air ennuyé, si le destinataire ne comprend pas, il ne vous reste que le radical « J’ai envie d’être seule là , tu me laisses s’il te plait ? ». Propre.
Les petits mensonges éhontés
« Je sors avec le videur ». Le gros lourd est caractérisé par son insistance mais aussi par son manque de cran. Une chose est sûre, il n’aura pas envie de se frotter à un grand costaud qui fait trois têtes de plus que lui et le regarde déjà d’un air mauvais.
« Pour l’instant, on est entre filles mais on va retrouver des potes au bar d’à côté dans 5 minutes ». Hop ! Le gros nul de service vous laisse tranquille pour ne pas avoir l’air d’insister, mais en plus il quitte le bar pour vous retrouver là où vous n’êtes pas. Elle n’est pas belle la vie ?
« Euh, c’est comme tu veux mais… j’ai des morpions ». Dans le genre repoussant on ne peut pas faire mieux. On pourrait croire que c’est difficile à amener dans une conversation mais pas du tout ! Au bout de cinq minutes, éclipsez-vous pour aller aux toilettes en précisant que c’est pour cette raison et que ça vous gêne terriblement.
« Mon père est dans la salle ». Prenez un air gêné et expliquez lui que même s’il passe la soirée de son côté et que ça vous fait honte, votre paternel tient à vous accompagner pour être sûr qu’il ne vous arrive rien de fâcheux… comme rencontrer un mec insistant par exemple.
Les tordues
« Je vois des morts ». Et bien quoi ? On vous demande vos hobbies et après on n’assume pas ?
« Ce soir, on est entre filles, mais on se re-capte après… Tiens, voilà mon numéro ». Sauf que, bien entendu, le 06 que vous lui avez donné n’est pas le vôtre mais celui de la ligne « anti-relous » mise en place par certaines émissions de radio. Il veut vous biper pour être sûr ? Oh, comme c’est dommage, votre batterie vient de lâcher.
Un geste vaut parfois mieux que 1000 mots. Alors ne lui adressez pas la parole mais toussez, reniflez, éternuez, raclez-vous la gorge, remettez-vous du déo devant lui, observez vos points noirs avec votre miroir de poche. Qui ne craquerait pas ?
Allez les filles, boutez ces vilains hors de votre vue. Et s’ils sont vraiment trop insistants, veillez à mettre le plus d’espace et surtout de monde entre vous !
Engagez-vous à prévoir vos retours de soirée – www.rentrerenvie.fr
Les directes
« Je ne suis pas intéressée, bonne fin de soirée ». Simple, concis et efficace ! Prononcez ces mots en le regardant droit dans les yeux, puis retournez à vos petites affaires comme s’il n’avait jamais existé. Attention, ne dîtes pas un mot supplémentaire, vous pourriez briser le charme. PAS UN SEUL !
«Qu’est-ce qu’on s’ennuie ce soir, il n’y a aucun beau mec ». Dîtes-le de préférence en baillant et l’air ennuyé, si le destinataire ne comprend pas, il ne vous reste que le radical « J’ai envie d’être seule là , tu me laisses s’il te plait ? ». Propre.
Les petits mensonges éhontés
« Je sors avec le videur ». Le gros lourd est caractérisé par son insistance mais aussi par son manque de cran. Une chose est sûre, il n’aura pas envie de se frotter à un grand costaud qui fait trois têtes de plus que lui et le regarde déjà d’un air mauvais.
« Pour l’instant, on est entre filles mais on va retrouver des potes au bar d’à côté dans 5 minutes ». Hop ! Le gros nul de service vous laisse tranquille pour ne pas avoir l’air d’insister, mais en plus il quitte le bar pour vous retrouver là où vous n’êtes pas. Elle n’est pas belle la vie ?
« Euh, c’est comme tu veux mais… j’ai des morpions ». Dans le genre repoussant on ne peut pas faire mieux. On pourrait croire que c’est difficile à amener dans une conversation mais pas du tout ! Au bout de cinq minutes, éclipsez-vous pour aller aux toilettes en précisant que c’est pour cette raison et que ça vous gêne terriblement.
« Mon père est dans la salle ». Prenez un air gêné et expliquez lui que même s’il passe la soirée de son côté et que ça vous fait honte, votre paternel tient à vous accompagner pour être sûr qu’il ne vous arrive rien de fâcheux… comme rencontrer un mec insistant par exemple.
Les tordues
« Je vois des morts ». Et bien quoi ? On vous demande vos hobbies et après on n’assume pas ?
« Ce soir, on est entre filles, mais on se re-capte après… Tiens, voilà mon numéro ». Sauf que, bien entendu, le 06 que vous lui avez donné n’est pas le vôtre mais celui de la ligne « anti-relous » mise en place par certaines émissions de radio. Il veut vous biper pour être sûr ? Oh, comme c’est dommage, votre batterie vient de lâcher.
Un geste vaut parfois mieux que 1000 mots. Alors ne lui adressez pas la parole mais toussez, reniflez, éternuez, raclez-vous la gorge, remettez-vous du déo devant lui, observez vos points noirs avec votre miroir de poche. Qui ne craquerait pas ?
Allez les filles, boutez ces vilains hors de votre vue. Et s’ils sont vraiment trop insistants, veillez à mettre le plus d’espace et surtout de monde entre vous !
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