Un leader ne suit pas, il précède. L’homme Cheikh Amar, detaille moyenne, au teint basané et au regard perçant mais attentif, prend toujours les devants dans les batailles du développement à mener. Toute son énergie combative n’aurait jamais pu l’inciter à obtenir de tels résultats, s’il n’avait pas le sens d’un véritable leader. Né à Saint-Louis, Cheikh Amar, a étudié en France, où il a obtenu un brevet de technicien supérieur (BTS) en commerce. C’est toujours dans l’Hexagone qu’il a débuté sa carrière, en intégrant le géant de la distribution Leclerc. Mais en 2002, il retourna au Sénégal pour créer sa propre entreprise :Tracto Service Équipement (TSE), une société spécialisée dans l’importation et la maintenance de matériels agricoles.
Il répondait ainsi à l’appel d’alors du nouveau président, Abdoulaye Wade, qui incitait, tous les fils et filles de ce pays servant à l’étranger, à rentrer pour participer à l’effort de reconstruction du tissu économique mis en lambeaux par vingt années d’ajustement structurel sauvage. Passionné, engagé, collaboratif, il crée toujours les conditions de succès pour ses entreprises. Il a une vision claire et réaliste des objectifs à atteindre. C’est un meneur d’hommes ambitieux qui fédère des énergies au service d’un développement durable.
Ardent à poursuivre un idéal, il fait preuve d’un pragmatisme entrepreneurial qui lui permet de s’illustrer dans la création de nombreuses entreprises innovantes. Propriétaire de sa propre personne, orienté vers les projets de développement, il incarne, au sens positif du terme, le capitaliste féru de la liberté d’entreprendre. Aussi, est-il dans l’agriculture, l’exploitation minière, la commercialisation d’intrants agricoles, dans
l’immobilier notamment l’habitat social, dans l’actionnariat d’entreprise. C’est un novateur qui a bâti sa fortune par l’effort et la volonté. Toute sa vie est consacrée au travail, à la passion de l’entreprise, au triomphe dans ses projets. Il reflète l’image d’un chef d’orchestre qui bat la mesure et donne le rythme.
En attestent les opérations de culture et de récolte qu’il finance chaque année et dirige personnellement au périmètre sylvo-pastoral de Khelcom. Altruiste, il est disponible pour venir discrètement en aide aux gens en difficultés. Si la littérature des success stories présuppose que l’homme riche est un exemple à suivre pour tous, Cheikh Amar est un parangon de réussite qui doit inspirer cette jeune génération désespérée qui, aujourd’hui, préfère le culte de l’argent facile. Aujourd’hui il est clair (lire interview) que Cheikh Amar n’a jamais compté – comme tente de l’instiller ignominieusement une certaine opinion – sur un régime ou une quelconque institution pour bâtir sa fortune. Il n’a suivi que les recommandations de son guide Serigne Saliou Mbacké et bénéficié de ses prières pour en arriver là où il est aujourd’hui.
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Il répondait ainsi à l’appel d’alors du nouveau président, Abdoulaye Wade, qui incitait, tous les fils et filles de ce pays servant à l’étranger, à rentrer pour participer à l’effort de reconstruction du tissu économique mis en lambeaux par vingt années d’ajustement structurel sauvage. Passionné, engagé, collaboratif, il crée toujours les conditions de succès pour ses entreprises. Il a une vision claire et réaliste des objectifs à atteindre. C’est un meneur d’hommes ambitieux qui fédère des énergies au service d’un développement durable.
Ardent à poursuivre un idéal, il fait preuve d’un pragmatisme entrepreneurial qui lui permet de s’illustrer dans la création de nombreuses entreprises innovantes. Propriétaire de sa propre personne, orienté vers les projets de développement, il incarne, au sens positif du terme, le capitaliste féru de la liberté d’entreprendre. Aussi, est-il dans l’agriculture, l’exploitation minière, la commercialisation d’intrants agricoles, dans
l’immobilier notamment l’habitat social, dans l’actionnariat d’entreprise. C’est un novateur qui a bâti sa fortune par l’effort et la volonté. Toute sa vie est consacrée au travail, à la passion de l’entreprise, au triomphe dans ses projets. Il reflète l’image d’un chef d’orchestre qui bat la mesure et donne le rythme.
En attestent les opérations de culture et de récolte qu’il finance chaque année et dirige personnellement au périmètre sylvo-pastoral de Khelcom. Altruiste, il est disponible pour venir discrètement en aide aux gens en difficultés. Si la littérature des success stories présuppose que l’homme riche est un exemple à suivre pour tous, Cheikh Amar est un parangon de réussite qui doit inspirer cette jeune génération désespérée qui, aujourd’hui, préfère le culte de l’argent facile. Aujourd’hui il est clair (lire interview) que Cheikh Amar n’a jamais compté – comme tente de l’instiller ignominieusement une certaine opinion – sur un régime ou une quelconque institution pour bâtir sa fortune. Il n’a suivi que les recommandations de son guide Serigne Saliou Mbacké et bénéficié de ses prières pour en arriver là où il est aujourd’hui.
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