“Dans la matinée du lundi 24 février 2020, une équipe de l’unité d’intervention de la police nationale (UIP-PN) a été victime d’une embuscade, tendue par des individus armés non identifiés, sur l’axe Pissila-Gibga”, dans la province du Sanmatenga, région du centre-nord, indique le communiqué.
“Suite à cette attaque, quatre personnes ont perdu la vie, dont trois policiers”, selon le texte qui évoque également cinq blessés sans dire s’il s’agit de policiers ou de civils.
Le directeur général de la police a “salué la détermination des unités engagées sur le terrain de la lutte contre le terrorisme et invité la population à une collaboration renforcée avec les forces de défense et de sécurité”.
Mardi dernier, trois soldats ont été tués au cours d’une attaque terroriste contre un détachement militaire à Kelbo, localité située dans la province du Soum, dans le nord du pays.
Le Burkina Faso, frontalier du Mali et du Niger, est confronté à des attaques jihadistes, qui ont fait plus de 750 morts depuis 2015.
Sous-équipées et mal entraînées, les forces de l’ordre burkinabè n’arrivent pas à enrayer la spirale de violences.
Les attaques terroristes, associées aux affrontements intercommunautaires, ont également contraint plus de 770.000 personnes à fuir leurs foyers dont plus de 20.000 élèves, selon les autorités burkinabé.
AFP
“Suite à cette attaque, quatre personnes ont perdu la vie, dont trois policiers”, selon le texte qui évoque également cinq blessés sans dire s’il s’agit de policiers ou de civils.
Le directeur général de la police a “salué la détermination des unités engagées sur le terrain de la lutte contre le terrorisme et invité la population à une collaboration renforcée avec les forces de défense et de sécurité”.
Mardi dernier, trois soldats ont été tués au cours d’une attaque terroriste contre un détachement militaire à Kelbo, localité située dans la province du Soum, dans le nord du pays.
Le Burkina Faso, frontalier du Mali et du Niger, est confronté à des attaques jihadistes, qui ont fait plus de 750 morts depuis 2015.
Sous-équipées et mal entraînées, les forces de l’ordre burkinabè n’arrivent pas à enrayer la spirale de violences.
Les attaques terroristes, associées aux affrontements intercommunautaires, ont également contraint plus de 770.000 personnes à fuir leurs foyers dont plus de 20.000 élèves, selon les autorités burkinabé.
AFP