La 27e édition du Fespaco, principal festival du 7e art en Afrique qui devait se tenir fin février au Burkina Faso, a été reporté à une date ultérieur, dans un contexte de rebond de l'épidémie de Covid-19 en Afrique de l'Ouest. L'événement culturel devait se tenir du 27 février au 06 mars.
Le Conseil des ministres burkinabè a "adopté la décision de reporter la tenue du Fespaco à une date ultérieure", a déclaré le porte-parole du gouvernement Ousseni Tamboura lors d'un point presse vendredi à Ouagadougou.
Le Burkina Faso, où 10.423 cas de Covid-19 ont été confirmés depuis le début de la pandémie pour 120 décès, connaît comme le reste de l'Afrique de l'Ouest une deuxième vague plus importante que la première.
"Au regard de la situation sanitaire, tant au plan national qu'international, liée à là pandémie du coronavirus, il sera difficile de tenir le Fespaco à bonne date", a ajouté M. Tamboura.
"Il ne sera pas facile pour nous de décider d'une (prochaine date) parce que cela est lié à l'évolution de la situation sanitaire", a souligné le porte-parole du gouvernement, également ministre de la Communication.
Le Fespaco, principal rendez-vous du cinéma en Afrique, se tient tous les deux ans à Ouagadougou. Chaque édition voit des films de tous formats entrer en compétition pour briguer la récompense suprême, l'Etalon d'or.
Depuis 1969, date de sa création, il rassemble à Ouagadougou des dizaines de milliers de spectateurs et acteurs du milieu du 7e art.
Le festival a contribué à faire connaître les plus grands réalisateurs africains comme Ousmane Sembene, Souleymane Cissé, Idrissa Ouedraogo ou Abderrahmane Sissako et reste aussi une formidable vitrine pour des jeunes talents tant devant que derrière la camera.
"Très peu de productions prévues ont été réalisées" depuis le début de la pandémie, a détaillé un communiqué du Conseil des ministres. "Des tournages de films ont été soit arrêtés, soit reportés ou simplement annulés causant d'énormes pertes sur toute la chaîne de production cinématographique".
Ce report est annoncé deux jours après celui du Festival de Cannes, plus important festival de cinéma au monde, qui se tient traditionnellement en mai mais reporté au mois de juillet, rapporte l'AFP.
Le Conseil des ministres burkinabè a "adopté la décision de reporter la tenue du Fespaco à une date ultérieure", a déclaré le porte-parole du gouvernement Ousseni Tamboura lors d'un point presse vendredi à Ouagadougou.
Le Burkina Faso, où 10.423 cas de Covid-19 ont été confirmés depuis le début de la pandémie pour 120 décès, connaît comme le reste de l'Afrique de l'Ouest une deuxième vague plus importante que la première.
"Au regard de la situation sanitaire, tant au plan national qu'international, liée à là pandémie du coronavirus, il sera difficile de tenir le Fespaco à bonne date", a ajouté M. Tamboura.
"Il ne sera pas facile pour nous de décider d'une (prochaine date) parce que cela est lié à l'évolution de la situation sanitaire", a souligné le porte-parole du gouvernement, également ministre de la Communication.
Le Fespaco, principal rendez-vous du cinéma en Afrique, se tient tous les deux ans à Ouagadougou. Chaque édition voit des films de tous formats entrer en compétition pour briguer la récompense suprême, l'Etalon d'or.
Depuis 1969, date de sa création, il rassemble à Ouagadougou des dizaines de milliers de spectateurs et acteurs du milieu du 7e art.
Le festival a contribué à faire connaître les plus grands réalisateurs africains comme Ousmane Sembene, Souleymane Cissé, Idrissa Ouedraogo ou Abderrahmane Sissako et reste aussi une formidable vitrine pour des jeunes talents tant devant que derrière la camera.
"Très peu de productions prévues ont été réalisées" depuis le début de la pandémie, a détaillé un communiqué du Conseil des ministres. "Des tournages de films ont été soit arrêtés, soit reportés ou simplement annulés causant d'énormes pertes sur toute la chaîne de production cinématographique".
Ce report est annoncé deux jours après celui du Festival de Cannes, plus important festival de cinéma au monde, qui se tient traditionnellement en mai mais reporté au mois de juillet, rapporte l'AFP.