Selon les participants, les débats ont été houleux sur plusieurs points de la charte, notamment la durée de la transition, le nombre de représentants au niveau de l’organe législatif et la possibilité pour les acteurs de la transition de participer aux prochaines élections.
Mais après des discussions parfois très tendues, la charte a finalement été adoptée de façon consensuelle, selon l’ancien Premier ministre Tertius Zongo, qui a présidé ces assises. Le document a été signé par le président Paul-Henri Damiba. « C’est un travail qui a été fait pour que ce pays retrouve un peu sa fierté et ses valeurs morales », a déclaré l’ex-Premier ministre.
Cette charte prévoit une durée de trois ans pour la transition et précise que ni le président, ni le Premier ministre, ni le président du Parlement ne pourront prendre part aux élections générales qui mettront fin à la période de transition. La hiérarchie militaire avait demandé au moins deux ans afin de permettre un retour progressif des personnes déplacées dans leur localité mais vu l’ampleur de la tâche, les participants aux assises ont décidé de leur accorder trois ans.
Mais après des discussions parfois très tendues, la charte a finalement été adoptée de façon consensuelle, selon l’ancien Premier ministre Tertius Zongo, qui a présidé ces assises. Le document a été signé par le président Paul-Henri Damiba. « C’est un travail qui a été fait pour que ce pays retrouve un peu sa fierté et ses valeurs morales », a déclaré l’ex-Premier ministre.
Cette charte prévoit une durée de trois ans pour la transition et précise que ni le président, ni le Premier ministre, ni le président du Parlement ne pourront prendre part aux élections générales qui mettront fin à la période de transition. La hiérarchie militaire avait demandé au moins deux ans afin de permettre un retour progressif des personnes déplacées dans leur localité mais vu l’ampleur de la tâche, les participants aux assises ont décidé de leur accorder trois ans.