Il est difficile de trouver un interlocuteur. Son père, sa mère et sa femme sont inconsolables. Finalement, c’est son grand frère qui essaye de prononcer quelques mots.
«Ndiaga était un homme exemplaire, travailleur et très courtois. Nous avons le même père mais il était sans façon, un homme humble, très social et toujours au service des autres. Sa mort nous a pris de court», témoigne Alioune Badara Ndiaye. Marié et père de deux enfants, Ndiaga Ndiaye est un homme attachant. Sa famille veut que justice soit faite. «Puisque nous n’avons pas le pouvoir de le faire revenir parmi nous, tout ce qu’on demande, c’est que justice soit faite. Que la loi puisse s’appliquer dans toute sa rigueur sur ce tueur», réclame son grand frère.
La famille de Ndiaga, qui n’a pas encore récupéré la dépouille pour l’enterrement, déplore également l’insécurité qui prévaut dans la ville. Face à cette perte, elle rumine sa colère par rapport à la façon dont Ndiaga Ndiaye a été tué.
Ngagne Cissé devait partir cette semaine au Canada
Le même décor est noté du côté de chez Ngagne Cissé, où la tristesse et la désolation sont les sentiments les mieux partagés. La mort de ce commerçant, marié et père d’un enfant, qui avait un projet de voyage vers le Canada, ne laisse pas indifférent le quartier Oncad.
D’ailleurs sa mère, Mbathio Mboup, retient tout le bien que les personnes disent de lui. S’accrochant à sa foi, elle accepte le coup du destin. «Nous sommes des croyants et nous acceptons la volonté divine. Ngagne devait voyager cette semaine. Malheureusement, le destin en a décidé autrement», regrette sa maman.
Depuis la mort de leur fils, la maison des Cissé pleure un soutien de famille, en attestent les propos de sa mère. «Son père est devenu aveugle et j’ai pris en main les charges familiales. Ngagne m’aidait à faire face aux dépenses de la maison. Il me soutenait beaucoup et je nourrissais beaucoup d’espoir en lui», assure Mme Cissé. Les dépouilles des défunts sont attendues par leurs familles et leurs amis, pour les accompagner à leur dernière demeure.
Le Quotidien
«Ndiaga était un homme exemplaire, travailleur et très courtois. Nous avons le même père mais il était sans façon, un homme humble, très social et toujours au service des autres. Sa mort nous a pris de court», témoigne Alioune Badara Ndiaye. Marié et père de deux enfants, Ndiaga Ndiaye est un homme attachant. Sa famille veut que justice soit faite. «Puisque nous n’avons pas le pouvoir de le faire revenir parmi nous, tout ce qu’on demande, c’est que justice soit faite. Que la loi puisse s’appliquer dans toute sa rigueur sur ce tueur», réclame son grand frère.
La famille de Ndiaga, qui n’a pas encore récupéré la dépouille pour l’enterrement, déplore également l’insécurité qui prévaut dans la ville. Face à cette perte, elle rumine sa colère par rapport à la façon dont Ndiaga Ndiaye a été tué.
Ngagne Cissé devait partir cette semaine au Canada
Le même décor est noté du côté de chez Ngagne Cissé, où la tristesse et la désolation sont les sentiments les mieux partagés. La mort de ce commerçant, marié et père d’un enfant, qui avait un projet de voyage vers le Canada, ne laisse pas indifférent le quartier Oncad.
D’ailleurs sa mère, Mbathio Mboup, retient tout le bien que les personnes disent de lui. S’accrochant à sa foi, elle accepte le coup du destin. «Nous sommes des croyants et nous acceptons la volonté divine. Ngagne devait voyager cette semaine. Malheureusement, le destin en a décidé autrement», regrette sa maman.
Depuis la mort de leur fils, la maison des Cissé pleure un soutien de famille, en attestent les propos de sa mère. «Son père est devenu aveugle et j’ai pris en main les charges familiales. Ngagne m’aidait à faire face aux dépenses de la maison. Il me soutenait beaucoup et je nourrissais beaucoup d’espoir en lui», assure Mme Cissé. Les dépouilles des défunts sont attendues par leurs familles et leurs amis, pour les accompagner à leur dernière demeure.
Le Quotidien