Selon elle, son organisation ne peut pas tolérer cet acte à la base de la loi de 1999 pénalisant l’excision. « Les auteurs de cet acte sont des criminels. Nous ne pouvons pas admettre que ces pratiques continuent sous nos yeux surtout dans notre capitale sénégalaise. Au Sénégal, nous sommes entre 22 à 23 % de taux d’excision », a fait savoir Mme Diop.
Elle ajoute : « nous ne voulons pas qu’une femme soit mutilée ni moralement, ni physiquement, ni intellectuellement. Nous sommes contre cette tradition néfaste à la santé des femmes et à leur l’épanouissement et qui est une violation systématique des droits de la femme.
A l’en croire, l’État du Sénégal doit mettre des stratégies pour éradiquer définitivement ce fléau.
Pour rappel, la brigade de gendarmerie de Keur Massar a mis aux arrêts des personnes qui tentaient d’exciser des fillettes à Boune. Les victimes ont été acheminées au district sanitaire de Keur Massar où elles ont bénéficié de premiers soins avant d’être acheminées dans une structure sanitaire pour subir une intervention chirurgicale, alors que les deux (2) autres ont été placées à l'AEMO de Pikine.
Elle ajoute : « nous ne voulons pas qu’une femme soit mutilée ni moralement, ni physiquement, ni intellectuellement. Nous sommes contre cette tradition néfaste à la santé des femmes et à leur l’épanouissement et qui est une violation systématique des droits de la femme.
A l’en croire, l’État du Sénégal doit mettre des stratégies pour éradiquer définitivement ce fléau.
Pour rappel, la brigade de gendarmerie de Keur Massar a mis aux arrêts des personnes qui tentaient d’exciser des fillettes à Boune. Les victimes ont été acheminées au district sanitaire de Keur Massar où elles ont bénéficié de premiers soins avant d’être acheminées dans une structure sanitaire pour subir une intervention chirurgicale, alors que les deux (2) autres ont été placées à l'AEMO de Pikine.