« Cet immeuble reçoit au moins 500 personnes par jour. Donc ,il faut savoir raison garder. Ces futilités et autres incongruités, c’est parce qu’on est dans ce Room ( réunion virtuelle) que j’en parle, sinon je n’allais pas le faire. Je n’essaie pas d’accuser des gens à tort pour les mouiller gratuitement. Je ne connais pas cette fille, je ne connais pas quelqu’un proche d’elle. Je ne vois pas pourquoi mon nom doit être cité dans ce dossier jusqu’à ces calomnies, ces scènes pornographiques. Je ne me rabaisserai pas à répondre à certains va-nu-pieds », fulmine-t-il
Concernant les démissions successives au sein de son entreprise de presse, le directeur de D-média estime que pour le cas de Ahmed Aïdara, il a « à choisir entre 437 personnes qui sont des soutiens de familles et mettre quelqu’un au frigo », il n’y a pas besoin de faire de calcul. Pour le reste, il est normal d’être ambitieux et de vouloir créer quelque chose pour soi.
Concernant les démissions successives au sein de son entreprise de presse, le directeur de D-média estime que pour le cas de Ahmed Aïdara, il a « à choisir entre 437 personnes qui sont des soutiens de familles et mettre quelqu’un au frigo », il n’y a pas besoin de faire de calcul. Pour le reste, il est normal d’être ambitieux et de vouloir créer quelque chose pour soi.