L'organisation "Sursaut citoyen" a présenté, hier, à Dakar, la charte de bonne gouvernance démocratique des Assises nationales réactualisée. Cette charte est composée au total, de dix chapitres abordant plusieurs questions et domaines bien distincts.
Elle découle d’un besoin urgent de sortie de crise, suite à des problèmes d’ordre social ayant pour objectif de valoriser les projets de société par le moyen du dialogue et le consensus dans la prise de pouvoir.
La charte de bonne gouvernance est censée être respectée par toutes les parties prenantes, notamment plusieurs candidats de la Présidentielle du 24 mars. Dans ce document, de nombreux points ont été abordés parmi lesquels l’hyper présidentialisme, le rapprochement noté entre le pouvoir exécutif et le législatif ces dernières années ou encore, quand la justice ne joue plus son rôle de dernier rempart.
Ainsi, la charte apparaît comme un antidote pour apporter des solutions à ces problèmes. D’ailleurs, des recommandations basées sur des valeurs telles que la sacralité des deniers publics, le pouvoir équilibré, le renforcement des institutions ou encore l’accès du peuple à la Constitution, par la traduction de cette dernière dans les langues autochtones. A cela s’ajoute la création d’un organe indépendant chargé de la gestion du processus électoral, du début jusqu’à la fin, y compris le financement des partis politiques et les campagnes électorales.
Elle découle d’un besoin urgent de sortie de crise, suite à des problèmes d’ordre social ayant pour objectif de valoriser les projets de société par le moyen du dialogue et le consensus dans la prise de pouvoir.
La charte de bonne gouvernance est censée être respectée par toutes les parties prenantes, notamment plusieurs candidats de la Présidentielle du 24 mars. Dans ce document, de nombreux points ont été abordés parmi lesquels l’hyper présidentialisme, le rapprochement noté entre le pouvoir exécutif et le législatif ces dernières années ou encore, quand la justice ne joue plus son rôle de dernier rempart.
Ainsi, la charte apparaît comme un antidote pour apporter des solutions à ces problèmes. D’ailleurs, des recommandations basées sur des valeurs telles que la sacralité des deniers publics, le pouvoir équilibré, le renforcement des institutions ou encore l’accès du peuple à la Constitution, par la traduction de cette dernière dans les langues autochtones. A cela s’ajoute la création d’un organe indépendant chargé de la gestion du processus électoral, du début jusqu’à la fin, y compris le financement des partis politiques et les campagnes électorales.