La vie chère de ses concitoyens a été au cœur de son discours, à la troisième journée de la campagne électorale comptant pour l’élection présidentielle du 24 mars 2024. Aux commandes, Malick Gakou promet d’apporter une réponse rapide et appropriée au stress social des Sénégalais à travers sa politique socio-économique consignée dans son projet de société dénommé PASS.
«On ne peut pas développer le Sénégal en faisant fi des conditions de vie difficiles des populations. C’est pourquoi, je m’engage solennellement, si je suis élu le 24 mars, à réduire la location, le coût de l’électricité et de l’eau. Pour créer de la croissance, nous devons reconstruire un autre Sénégal fort économiquement et industriellement, un Sénégal dans lequel toutes les franges de la population notamment les femmes et les jeunes y trouveront leurs comptes», a déclaré le maire Honoraire de la ville de Guédiawaye.
Poursuivant sa communication, le candidat Gakou a estimé que la création de la richesse passe d’abord par l’industrialisation d’un pays.
«Nous avons assez de ressources humaines pour arriver au stade de développement. Je veux créer des capitaines d’industrie, mais cela passe nécessairement par la valorisation du secteur primaire qui doit être le fer de lance de cette politique d’industrialisation. Nous savons que l’agriculture, l’élevage et la pêche qui occupent 80% des Sénégalais, contribuent à hauteur de 20% du Produit intérieur brut». L’ancien ministre du Commerce, en sa qualité d’économiste, ambitionne également de rehausser la contribution du secteur primaire de 20% à 60% du PIB.
Par ailleurs, il a promis, une fois les grilles du Palais franchies de mener une lutte intense contre la corruption dans le pays. Mieux, Malick Gakou envisage de lancer la traque de biens mal acquis, de 1960 Ã nos jours.
«Je veillerai à ce que tous ceux qui se sont enrichis illicitement, depuis l’indépendance à nos jours, puissent rembourser la totalité des sommes qu’ils ont dérobées dans les caisses de l’Etat. Parce que cet argent appartient au seul peuple sénégalais qui doit en bénéficier», a-t-il menacé.
«On ne peut pas développer le Sénégal en faisant fi des conditions de vie difficiles des populations. C’est pourquoi, je m’engage solennellement, si je suis élu le 24 mars, à réduire la location, le coût de l’électricité et de l’eau. Pour créer de la croissance, nous devons reconstruire un autre Sénégal fort économiquement et industriellement, un Sénégal dans lequel toutes les franges de la population notamment les femmes et les jeunes y trouveront leurs comptes», a déclaré le maire Honoraire de la ville de Guédiawaye.
Poursuivant sa communication, le candidat Gakou a estimé que la création de la richesse passe d’abord par l’industrialisation d’un pays.
«Nous avons assez de ressources humaines pour arriver au stade de développement. Je veux créer des capitaines d’industrie, mais cela passe nécessairement par la valorisation du secteur primaire qui doit être le fer de lance de cette politique d’industrialisation. Nous savons que l’agriculture, l’élevage et la pêche qui occupent 80% des Sénégalais, contribuent à hauteur de 20% du Produit intérieur brut». L’ancien ministre du Commerce, en sa qualité d’économiste, ambitionne également de rehausser la contribution du secteur primaire de 20% à 60% du PIB.
Par ailleurs, il a promis, une fois les grilles du Palais franchies de mener une lutte intense contre la corruption dans le pays. Mieux, Malick Gakou envisage de lancer la traque de biens mal acquis, de 1960 Ã nos jours.
«Je veillerai à ce que tous ceux qui se sont enrichis illicitement, depuis l’indépendance à nos jours, puissent rembourser la totalité des sommes qu’ils ont dérobées dans les caisses de l’Etat. Parce que cet argent appartient au seul peuple sénégalais qui doit en bénéficier», a-t-il menacé.