Bombardier veut être fixé sur la tenue de son combat contre Eumeu Sène et dans les meilleurs délais. Las d’attendre le promoteur Assane Ndiay, le lutteur par la voix de Pape Dia, son frère et manager, lance un ultimatum au promoteur:«s’il ne le régularise pas au niveau du Cng avant la fête de la Korité, il devra faire sans Bombardier».
Bientôt la fin de la saison de lutte 2016-2017, le combat de Bombardier-Eumeu Sène se complique chaque jour davantage. Le non-respect des clauses contractuelles définissant les droits et obligations du promoteur à l’ endroit des lutteurs est en cause. L’écurie Mbour, dont la patience a atteint ses limites, se met en colère.
«Fini le temps de grâce. Si le promoteur tient à ce que ce combat ait lieu, qu’il régularise au plus tard, avant la Korité», déclare Pape Dia frère et agent de Serigne Dia alias Bombardier.
La régularisation du combat au niveau du Cng suppose que le promoteur s’acquitte de ses obligations contractuelles. Selon le manager de Bombardier, Assane Ndiaye traîne toujours avec le reste de l’argent. «Le contrat a été signé en septembre 2016. Le promoteur nous avait fait une avance et il était dit que le reste serait versé par tranches. Ce qui n’est toujours pas fait. Des dates qui changent à n’en finir, il nous parle encore de du 13 août, sachant que la saison de lutte 2016-2017 sera fermée le 31 juillet prochain», argue-t-il.
Bientôt la fin de la saison de lutte 2016-2017, le combat de Bombardier-Eumeu Sène se complique chaque jour davantage. Le non-respect des clauses contractuelles définissant les droits et obligations du promoteur à l’ endroit des lutteurs est en cause. L’écurie Mbour, dont la patience a atteint ses limites, se met en colère.
«Fini le temps de grâce. Si le promoteur tient à ce que ce combat ait lieu, qu’il régularise au plus tard, avant la Korité», déclare Pape Dia frère et agent de Serigne Dia alias Bombardier.
La régularisation du combat au niveau du Cng suppose que le promoteur s’acquitte de ses obligations contractuelles. Selon le manager de Bombardier, Assane Ndiaye traîne toujours avec le reste de l’argent. «Le contrat a été signé en septembre 2016. Le promoteur nous avait fait une avance et il était dit que le reste serait versé par tranches. Ce qui n’est toujours pas fait. Des dates qui changent à n’en finir, il nous parle encore de du 13 août, sachant que la saison de lutte 2016-2017 sera fermée le 31 juillet prochain», argue-t-il.