La deuxième vice-présidente du Sénat, Jeanine Añez, s’est proclamée ce mardi 12 novembre présidente par intérim de la Bolivie. Ce, après la destitution et l’exil l’ex-président Evo Morales et la démission de ses successeurs prévus par la Constitution.
Selon la désormais présidente par intérim, cette proclamation est due à « la nécessité de créer un climat de paix sociale » dans le pays.
Mais, pour Evo Morales, cet acte n’est rien d’autre qu’un « coup d’Etat ». C’est « le coup d’État le plus astucieux et le plus odieux de l’histoire a eu lieu. Une sénatrice issue d’un coup d’État de droite se proclame présidente du Sénat, puis présidente par intérim de la Bolivie sans quorum législatif, entourée d’un groupe de complices et dirigée par l’armée et la police qui répriment le peuple », rapporte rfi.fr.
Selon la désormais présidente par intérim, cette proclamation est due à « la nécessité de créer un climat de paix sociale » dans le pays.
Mais, pour Evo Morales, cet acte n’est rien d’autre qu’un « coup d’Etat ». C’est « le coup d’État le plus astucieux et le plus odieux de l’histoire a eu lieu. Une sénatrice issue d’un coup d’État de droite se proclame présidente du Sénat, puis présidente par intérim de la Bolivie sans quorum législatif, entourée d’un groupe de complices et dirigée par l’armée et la police qui répriment le peuple », rapporte rfi.fr.