Dans un entretien, accordé au journal leQuotidien, Bocar Samba Dièye tente de mettre au clair, le conflit qui l’oppose à la Compagnie bancaire de l’Afrique de l’Occidentale (Cbao), qui a saisi 3 de ses maisons pour une valeur de 6 milliards FCfa.
En effet, M. Dièye d’expliquer, « je voudrais que l’Etat sache que je ne dois rien aux Marocains. Il y a une expertise judiciaire, qui atteste que la banque est dans l’incapacité d’apporter une preuve de ses allégations de créances sur ma personne. Et malgré cela, ils continuent de vendre mes biens à des prix dérisoires et en toute impunité. Même la plainte que j’ai déposée contre le Directeur général de la banque, et malgré les efforts du juge, le concerné refuse de se présenter ».
Poursuivant, il dit : « nous sommes dans un Etat de droit, nul ne doit être au-dessus de la loi ». « J’engagerai toutes les procédures judiciaires nécessaires pour que la vérité éclate dans cette affaire et que je sois rétabli dans mes droits. Ce qui est grave est qu’aujourd’hui, la Cbao est en train de passer outre la saisie conservatoire ordonnée par le juge d’instruction pour protéger mes droits et cherche à m’expulser de ces immeubles, qui sont placés sous mes registres », a fait savoir Bocar Samba Dièye.
A l’en croire, si c’était l’Etat qui avait pris ses biens, cela ne lui ferai pas mal, "parce que j’espère qu’un jour, peut-être, un de mes fils pourra diriger ce pays".
Bocar Samba Dièye ne peut pas accepter dit-il que ses biens soient entre les mains des Marocains. « Je voudrais avoir une rencontre avec la banque pour qu'elle me dise si le notaire a le droit de tripatouiller mes papiers ».
Dans la même foulée, l’importateur de riz, Bocar Samba Dièye a accusé Abdoul Mbaye d’avoir vendu ses action à la Bst à son insu.
En effet, M. Dièye d’expliquer, « je voudrais que l’Etat sache que je ne dois rien aux Marocains. Il y a une expertise judiciaire, qui atteste que la banque est dans l’incapacité d’apporter une preuve de ses allégations de créances sur ma personne. Et malgré cela, ils continuent de vendre mes biens à des prix dérisoires et en toute impunité. Même la plainte que j’ai déposée contre le Directeur général de la banque, et malgré les efforts du juge, le concerné refuse de se présenter ».
Poursuivant, il dit : « nous sommes dans un Etat de droit, nul ne doit être au-dessus de la loi ». « J’engagerai toutes les procédures judiciaires nécessaires pour que la vérité éclate dans cette affaire et que je sois rétabli dans mes droits. Ce qui est grave est qu’aujourd’hui, la Cbao est en train de passer outre la saisie conservatoire ordonnée par le juge d’instruction pour protéger mes droits et cherche à m’expulser de ces immeubles, qui sont placés sous mes registres », a fait savoir Bocar Samba Dièye.
A l’en croire, si c’était l’Etat qui avait pris ses biens, cela ne lui ferai pas mal, "parce que j’espère qu’un jour, peut-être, un de mes fils pourra diriger ce pays".
Bocar Samba Dièye ne peut pas accepter dit-il que ses biens soient entre les mains des Marocains. « Je voudrais avoir une rencontre avec la banque pour qu'elle me dise si le notaire a le droit de tripatouiller mes papiers ».
Dans la même foulée, l’importateur de riz, Bocar Samba Dièye a accusé Abdoul Mbaye d’avoir vendu ses action à la Bst à son insu.