Birima Mangara rappelle qu’au Sénégal, l’effectif des adolescents de 10 à 19 ans est estimé à près de trois (03) millions, dont 50,2% de filles avant d’indiquer que « des millions d'adolescentes se heurtent à une sérieuse discrimination et exclusion qui les empêchent de revendiquer leurs droits et d'accomplir leur véritable potentiel. Elles sont victimes d’analphabétisme et d’abandon. Elles sont aussi vulnérables à la violence sexuelle et soumises à des pratiques nuisibles. De même, elles sont confrontées à des mariages et des maternités précoces ».
Poursuivant, il ajoutera qu'au Sénégal, cette cible fait partie des couches les plus vulnérables dont la santé a souvent été compromise par des comportements à risques. Entre autres, «19% des adolescentes de 15 à 19 ans ont déjà commencé leur vie féconde, 16% sont dans les liens du mariage », confie-t-il.
Poursuivant, il ajoutera qu'au Sénégal, cette cible fait partie des couches les plus vulnérables dont la santé a souvent été compromise par des comportements à risques. Entre autres, «19% des adolescentes de 15 à 19 ans ont déjà commencé leur vie féconde, 16% sont dans les liens du mariage », confie-t-il.