Mais Beyoncé n’en est pas restée là et a décidé de contre-attaquer en allant en justice pour obtenir gain de cause. Le site d’informations The Blast a réussi à obtenir les documents juridiques de l’affaire. On peut ainsi découvrir que Beyoncé tente par tous les moyens de discréditer l’organisatrice de mariage.
“Wendy Morales ne possède qu’un petit business, avec seulement trois bureaux régionaux et une poignée d’employés. Blue Ivy est une icône culturelle, elle a atteint un niveau significatif de renommée mondiale, très particulier pour son jeune âge. (…) Avec un tel facteur, Blue Ivy Carter pourrait sûrement devenir le visage d’une marque”, a-t-elle déclaré.
La chanteuse a même été encore plus loin en expliquant que les clients pourraient être perdus entre une société spécialisée dans l’organisation de mariages, et Blue Ivy Carter, la fille de deux des plus célèbres interprètes au monde.
De son côté, Wendy Morales a fait savoir que cet argument était inutile et qu’il ne devrait pas être recevable. Par ailleurs, les avocats de la chanteuse ont précisé que la requête concernait l’appellation complète “Blue Ivy Carter” et non “Blue Ivy” tout court. L’affaire est donc loin d’être terminée.
“Wendy Morales ne possède qu’un petit business, avec seulement trois bureaux régionaux et une poignée d’employés. Blue Ivy est une icône culturelle, elle a atteint un niveau significatif de renommée mondiale, très particulier pour son jeune âge. (…) Avec un tel facteur, Blue Ivy Carter pourrait sûrement devenir le visage d’une marque”, a-t-elle déclaré.
La chanteuse a même été encore plus loin en expliquant que les clients pourraient être perdus entre une société spécialisée dans l’organisation de mariages, et Blue Ivy Carter, la fille de deux des plus célèbres interprètes au monde.
De son côté, Wendy Morales a fait savoir que cet argument était inutile et qu’il ne devrait pas être recevable. Par ailleurs, les avocats de la chanteuse ont précisé que la requête concernait l’appellation complète “Blue Ivy Carter” et non “Blue Ivy” tout court. L’affaire est donc loin d’être terminée.