La ville d’Alep était une nouvelle fois au cœur des préoccupations du pape François pour cet appel à la paix du 25 décembre. La ville étant le « théâtre ces dernières semaines d'une des batailles les plus atroces, il est plus que jamais urgent qu'assistance et réconfort soient garantis à la population civile à bout de forces, en respectant le droit humanitaire », a déclaré le pontife souverain.
Plus largement, le pape s’est exprimé sur la Syrie en demandant que « les armes se taisent définitivement et que la communauté internationale s'emploie activement pour qu'on arrive à une solution négociée. »
Devant des dizaines de milliers de fidèles rassemblés sur la place Saint-Pierre de Rome, le pape argentin, 80 ans, a aussi appelé à « la paix » en Terre sainte. « Qu'Israéliens et Palestiniens aient le courage et la détermination d'écrire une nouvelle page de l'Histoire, où haine et vengeance cèdent la place à la volonté de construire ensemble un avenir de compréhension réciproque et d'harmonie », a-t-il ajouté.
Même appel à l’unité pour l’Irak, la Libye ou encore le Yémen, trois pays où les « populations pâtissent de la guerre et d’atroces actions terroristes, qui ont semé peur et mort auprès de tant de pays », déplore le pape, quelques jours après l’attentat qui a frappé un marché de Noël à Berlin, et sur une place Saint-Pierre à moitié vide où la sécurité a été renforcée.
Enfin, le pape cite plusieurs pays d’Afrique, le Nigeria où « le terrorisme fondamentaliste exploite aussi les enfants » et la République démocratique du Congo. François appelle à guérir les divisions et a préféré la culture du dialogue à la logique de l’affrontement. La RDC était déjà l’objet d’un appel du pape à tous les Congolais, mercredi 21 décembre, pour qu’ils soient des artisans de la réconciliation.
Avec Sarah Bakaloglu (correspondante à Rome Rfi)
Plus largement, le pape s’est exprimé sur la Syrie en demandant que « les armes se taisent définitivement et que la communauté internationale s'emploie activement pour qu'on arrive à une solution négociée. »
Devant des dizaines de milliers de fidèles rassemblés sur la place Saint-Pierre de Rome, le pape argentin, 80 ans, a aussi appelé à « la paix » en Terre sainte. « Qu'Israéliens et Palestiniens aient le courage et la détermination d'écrire une nouvelle page de l'Histoire, où haine et vengeance cèdent la place à la volonté de construire ensemble un avenir de compréhension réciproque et d'harmonie », a-t-il ajouté.
Même appel à l’unité pour l’Irak, la Libye ou encore le Yémen, trois pays où les « populations pâtissent de la guerre et d’atroces actions terroristes, qui ont semé peur et mort auprès de tant de pays », déplore le pape, quelques jours après l’attentat qui a frappé un marché de Noël à Berlin, et sur une place Saint-Pierre à moitié vide où la sécurité a été renforcée.
Enfin, le pape cite plusieurs pays d’Afrique, le Nigeria où « le terrorisme fondamentaliste exploite aussi les enfants » et la République démocratique du Congo. François appelle à guérir les divisions et a préféré la culture du dialogue à la logique de l’affrontement. La RDC était déjà l’objet d’un appel du pape à tous les Congolais, mercredi 21 décembre, pour qu’ils soient des artisans de la réconciliation.
Avec Sarah Bakaloglu (correspondante à Rome Rfi)