« Nous sommes malheureusement dans un vaste et vulgaire complot politique. Ce complot politique ne passera pas et à ce titre, je demanderai aux Sénégalais et particulièrement à cette jeunesse sénégalaise de se mobiliser fortement ce mercredi 10 novembre et d’envahir le tribunal de Dakar", a-t-il dit.
Un appel relayé aussi par Ousmane Sonko et Khalifa Sall. « Cette citation à comparaître n’est que la suite logique du renvoi de l’affaire », depuis le mois de juillet, a affirmé le procureur général. « Manipulation », « mauvaise foi », répond de son côté la coalition de la majorité, Beno Bokk Yakaar Mor Ngom, ministre conseiller du chef de l’État en conférence de presse mardi.
« Beno Bokk Yakaar demande solennellement à l’opinion nationale de dénoncer les appels à la violence lancés par l’opposition radicale et ses tentatives annoncées de plonger notre pays dans la violence, l’instabilité et la terreur".
Sans oublier les appels de Abdoulaye Diouf Sarr, Seydou Guèye et Yankhoba Diattara de répondre par la loi du talion.
Un climat qui fait craindre des tensions : les émeutes meurtrières du mois de mars avaient été déclenchées par la procédure visant Ousmane Sonko, qui reste sous contrôle judiciaire.
Un appel relayé aussi par Ousmane Sonko et Khalifa Sall. « Cette citation à comparaître n’est que la suite logique du renvoi de l’affaire », depuis le mois de juillet, a affirmé le procureur général. « Manipulation », « mauvaise foi », répond de son côté la coalition de la majorité, Beno Bokk Yakaar Mor Ngom, ministre conseiller du chef de l’État en conférence de presse mardi.
« Beno Bokk Yakaar demande solennellement à l’opinion nationale de dénoncer les appels à la violence lancés par l’opposition radicale et ses tentatives annoncées de plonger notre pays dans la violence, l’instabilité et la terreur".
Sans oublier les appels de Abdoulaye Diouf Sarr, Seydou Guèye et Yankhoba Diattara de répondre par la loi du talion.
Un climat qui fait craindre des tensions : les émeutes meurtrières du mois de mars avaient été déclenchées par la procédure visant Ousmane Sonko, qui reste sous contrôle judiciaire.