La Banque des institutions mutualistes d'Afrique de l'Ouest (Bimao) est au bord du gouffre. Près de 20 milliards de FCFA de crédits sont dans la nature, ce qui apoussé la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest à taper sur la table. La Société générale de banque du Sénégal (Sgbs) fait des émules.
Cette banque était entrée en bras de fer avec plusieurs hommes d'affaires qui, à eux seuls, avaient bénéficié de plusieurs milliards de FCFA en crédits qu'ils n'ont jamais remboursé. Pour limiter les dégâts, il aura fallu que la Sgbs, sous la houlette de son ancien directeur général Yann de Nanteuil, porte plainte contre l'un des créanciers Zoheir Wazni, écroué un bon moment avant de bénéficier d'une liberté provisoire, alors que Said Tarraf qui était dans la même situation trouve une solution à l'amiable avec la banque.
A l'époque quelques 109 milliards de la Sgbs étaient dans la nature par la faute d'un ancien administrateur peu soucieux des règles. C'est presque la même situation qui règne à la Banque des institutions mutualistes d'Afrique de l'Ouest (Bimao).
Source Libération
Cette banque était entrée en bras de fer avec plusieurs hommes d'affaires qui, à eux seuls, avaient bénéficié de plusieurs milliards de FCFA en crédits qu'ils n'ont jamais remboursé. Pour limiter les dégâts, il aura fallu que la Sgbs, sous la houlette de son ancien directeur général Yann de Nanteuil, porte plainte contre l'un des créanciers Zoheir Wazni, écroué un bon moment avant de bénéficier d'une liberté provisoire, alors que Said Tarraf qui était dans la même situation trouve une solution à l'amiable avec la banque.
A l'époque quelques 109 milliards de la Sgbs étaient dans la nature par la faute d'un ancien administrateur peu soucieux des règles. C'est presque la même situation qui règne à la Banque des institutions mutualistes d'Afrique de l'Ouest (Bimao).
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