Cette route était une piste en latérite avant son bitumage en 2020-2021, grâce à une convention conclue par la commune de Ndangalma et le Fonds d’entretien routier autonome (FERA).
« Depuis que cette route a été bitumée, l’on ne peut pas rester un mois sans qu’il y ait un accident mortel », déplore Dieynaba Diouf, une habitante de Séo dont la maison fait face à ce tronçon redoutée de nombreux habitants de cette partie du Baol.
»Ce sont les charretiers et les motos Jakarta qui paient le plus lourd tribut aux accidents » sur cert axe, selon Massamba Sall, président de l’association « Gatte Bokk Xalaat », qui vise à fédérer les habitants de Gatte autour des objectifs de développement de leur village.
Il affirme que les accidents sur cette route sont dus principalement à « un manque de panneaux de signalisation, mais surtout de ralentisseurs », entre Séo et Gatte, sur la Route nationale numéro trois.
« Vous l’avez constaté vous-même, il n’y a que deux ralentisseurs entre Séo et Gatte, et pratiquement aucun panneau de signalisation tout au long de la route. Et les charrettes l’empruntent nuit et jour, sans compter les conducteurs de motos qui […] gagnent leur vie » grâce à ce tronçon, dit-il.
Aussi les habitants réclament-ils l’érection de ralentisseurs et de panneaux de signalisation. Ils demandent aussi l’installation de lampadaires et l’aménagement d’une voie sablonneuse pour les charrettes, parallèlement à la route.
« A notre avis, pour limiter les accidents [sur cette route], il faut impérativement aménager une voie de contournement pour les charretiers », dit Abdoulaye Faye, un conducteur de « moto Jakarta ».
Il reste que le bitumage de ce tronçon a donné un coup de fouet à l’économie de Gatte, plus grand village de la commune de Ndangalma, si ce n’est du département de Bambey, avec une population estimée à plus de 15.000 habitants.
« Cette route à un impact considérable sur le développement intégral de notre village. Elle a permis aux producteurs et éleveurs du village de Gatte et environs de pouvoir transporter leurs produits dans les grands marchés à l’intérieur du pays », souligne Massamba Sall, président de l’association « Gatte Bokk Xalaat ».
Le bitumage de ce tronçon »a toujours été une doléance pour nous populations de Gatte, et c’est pour moi l’occasion de remercier les autorités gouvernementales d’avoir répondu au cri de cœur des habitants de Gatte », a-t-il ajouté.
« Ici à Gatte, l’activité de prédilection des populations reste l’agriculture et l’élevage. Avant, les gens avaient beaucoup de peine à écouler leurs récoltes mais grâce à cette route, on peut rallier la Route nationale en moins de quinze minutes », a-t-il indiqué, avant de plaider pour davantage d’infrastructures pour son village.
« Depuis que cette route a été bitumée, l’on ne peut pas rester un mois sans qu’il y ait un accident mortel », déplore Dieynaba Diouf, une habitante de Séo dont la maison fait face à ce tronçon redoutée de nombreux habitants de cette partie du Baol.
»Ce sont les charretiers et les motos Jakarta qui paient le plus lourd tribut aux accidents » sur cert axe, selon Massamba Sall, président de l’association « Gatte Bokk Xalaat », qui vise à fédérer les habitants de Gatte autour des objectifs de développement de leur village.
Il affirme que les accidents sur cette route sont dus principalement à « un manque de panneaux de signalisation, mais surtout de ralentisseurs », entre Séo et Gatte, sur la Route nationale numéro trois.
« Vous l’avez constaté vous-même, il n’y a que deux ralentisseurs entre Séo et Gatte, et pratiquement aucun panneau de signalisation tout au long de la route. Et les charrettes l’empruntent nuit et jour, sans compter les conducteurs de motos qui […] gagnent leur vie » grâce à ce tronçon, dit-il.
Aussi les habitants réclament-ils l’érection de ralentisseurs et de panneaux de signalisation. Ils demandent aussi l’installation de lampadaires et l’aménagement d’une voie sablonneuse pour les charrettes, parallèlement à la route.
« A notre avis, pour limiter les accidents [sur cette route], il faut impérativement aménager une voie de contournement pour les charretiers », dit Abdoulaye Faye, un conducteur de « moto Jakarta ».
Il reste que le bitumage de ce tronçon a donné un coup de fouet à l’économie de Gatte, plus grand village de la commune de Ndangalma, si ce n’est du département de Bambey, avec une population estimée à plus de 15.000 habitants.
« Cette route à un impact considérable sur le développement intégral de notre village. Elle a permis aux producteurs et éleveurs du village de Gatte et environs de pouvoir transporter leurs produits dans les grands marchés à l’intérieur du pays », souligne Massamba Sall, président de l’association « Gatte Bokk Xalaat ».
Le bitumage de ce tronçon »a toujours été une doléance pour nous populations de Gatte, et c’est pour moi l’occasion de remercier les autorités gouvernementales d’avoir répondu au cri de cœur des habitants de Gatte », a-t-il ajouté.
« Ici à Gatte, l’activité de prédilection des populations reste l’agriculture et l’élevage. Avant, les gens avaient beaucoup de peine à écouler leurs récoltes mais grâce à cette route, on peut rallier la Route nationale en moins de quinze minutes », a-t-il indiqué, avant de plaider pour davantage d’infrastructures pour son village.