A l’Agence des Aéroports du Sénégal (Ads), à l’Anacim, à Abs ou encore à la Haute autorité, les réserves financières sont quasiment vides. Ces sociétés tirent véritablement la langue à cause de la baisse des taxes sur les billets d’avion, pour promouvoir le tourisme. Une bouée de sauvetage du ministère de l’Economie et des Finances est tout de même attendue, pour décanter la situation.
Le ministère de l’Economie et des Finances (Mef) est attendu en sauveur à l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar. Aussi bien à l’Agence des Aéroports du Sénégal (Ads), qu’à l’Anacim, à Abs ou encore à la Haute autorité, les réserves financières sont quasiment vides, pour ne pas dire que les sociétés roulent avec presque zéro franc dans les comptes.
La mesure consistant à baisser les taxes sur les billets d’avion est passée par là , selon différents responsables des boîtes susnommées avec qui Le Quotidien s’est entretenu sur la question. Cette mesure de baisser les taxes sur les billets, pour favoriser le tourisme, a eu pour conséquence, de réduire les redevances, qui faisaient jusque là , fonctionner ces sociétés.
Dernièrement, on a entendu des syndicalistes de l’Agence des aéroports du Sénégal pousser des cris d’alerte, parce que disent-ils, les Ads filent droit vers une cessation de paiement. Mais selon des indiscrétions, la situation est beaucoup plus difficile qu’elle en a l’air, puisque les fournisseurs sont aux aguets.
La société dirigée par Pape Maël Diop est réellement dans la dèche, pour dire le moins. C’est la même situation, sinon même pire encore à l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) et à la Haute autorité de l’aéroport, toutes dépendantes des fameuses redevances.
Près de 8 milliards attendus du Mef
Aujourd’hui, la situation est telle que tous les regards sont tournés vers le ministre de l’Economie et des Finances. Amadou Bâ est attendu pour renflouer les caisses des sociétés et agences, qui subissent de plein fouet, la mesure de baisser les taxes sur les billets d’avion.
Près de 8 milliards de francs Cfa sont attendus, pour régler le problème et le plus rapidement serait le mieux, confie-t-on à l’aéroport. Parce que justement, faiton remarquer, même l’Asecna n’est pas à l’abri.
Aly Fall lequotidien
Le ministère de l’Economie et des Finances (Mef) est attendu en sauveur à l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar. Aussi bien à l’Agence des Aéroports du Sénégal (Ads), qu’à l’Anacim, à Abs ou encore à la Haute autorité, les réserves financières sont quasiment vides, pour ne pas dire que les sociétés roulent avec presque zéro franc dans les comptes.
La mesure consistant à baisser les taxes sur les billets d’avion est passée par là , selon différents responsables des boîtes susnommées avec qui Le Quotidien s’est entretenu sur la question. Cette mesure de baisser les taxes sur les billets, pour favoriser le tourisme, a eu pour conséquence, de réduire les redevances, qui faisaient jusque là , fonctionner ces sociétés.
Dernièrement, on a entendu des syndicalistes de l’Agence des aéroports du Sénégal pousser des cris d’alerte, parce que disent-ils, les Ads filent droit vers une cessation de paiement. Mais selon des indiscrétions, la situation est beaucoup plus difficile qu’elle en a l’air, puisque les fournisseurs sont aux aguets.
La société dirigée par Pape Maël Diop est réellement dans la dèche, pour dire le moins. C’est la même situation, sinon même pire encore à l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) et à la Haute autorité de l’aéroport, toutes dépendantes des fameuses redevances.
Près de 8 milliards attendus du Mef
Aujourd’hui, la situation est telle que tous les regards sont tournés vers le ministre de l’Economie et des Finances. Amadou Bâ est attendu pour renflouer les caisses des sociétés et agences, qui subissent de plein fouet, la mesure de baisser les taxes sur les billets d’avion.
Près de 8 milliards de francs Cfa sont attendus, pour régler le problème et le plus rapidement serait le mieux, confie-t-on à l’aéroport. Parce que justement, faiton remarquer, même l’Asecna n’est pas à l’abri.
Aly Fall lequotidien