Selon le président des commerçants, Mamadou Aliou Sall, l'Etat leur impose d’acheter par exemple le sac de riz ordinaire indien à 16 250 FCfa et de vendre le kilogramme à 340 FCfa.
«Si vous multipliez 340 FCfa par 50 kg, cela donne 17.000 FCfa. Vous déduisez de 17 000 FCfa, le transport de 250 FCfa par sac, il vous reste 16 750 FCfa. Sachant que le sac de riz pesé ne fait que 48 kg au lieu de 50 kg, il est évident que nous vendons à perte», a-t-il dit à seneweb.
Il en est de même pour le sucre cristallisé, le lait en poudre d’origine végétale, la pomme de terre, l’oignon et l’huile parfumée. Le porte-parole des boutiquiers détaillants prévient qu’il s’agit juste d’une grève d’avertissement d’une journée, pour attirer l’attention de l’Etat sur la réalité du terrain. Mais aujourd’hui, ils vont boycotter la vente des produits susdits.
«Si vous multipliez 340 FCfa par 50 kg, cela donne 17.000 FCfa. Vous déduisez de 17 000 FCfa, le transport de 250 FCfa par sac, il vous reste 16 750 FCfa. Sachant que le sac de riz pesé ne fait que 48 kg au lieu de 50 kg, il est évident que nous vendons à perte», a-t-il dit à seneweb.
Il en est de même pour le sucre cristallisé, le lait en poudre d’origine végétale, la pomme de terre, l’oignon et l’huile parfumée. Le porte-parole des boutiquiers détaillants prévient qu’il s’agit juste d’une grève d’avertissement d’une journée, pour attirer l’attention de l’Etat sur la réalité du terrain. Mais aujourd’hui, ils vont boycotter la vente des produits susdits.