Censées offrir un service de repos avec toutes les commodités, pour les clients n’ayant pas les moyens de prendre une chambre d’hôtel ou ceux en transit dans les grandes villes, People.sn est en mesure de révéler que les auberges remplissent désormais d’autres critères pour avoir la côte.
Désormais en plus d’être un coin pour les adeptes de Bacchus, il faut avoir de la marchandise à proximité et les gérants ne se gênent pas pour proposer des contrats d’un genre particulier aux prostituées qui jouent le jeu. Ainsi, selon une source de People.sn, en dehors des chambres louées à des prix variant entre 7 500 et 10 000 francs, certains gérants proposent des tarifs incluant une fille pour toute une nuit. Cette offre particulière a vite fait l’affaire des filles qui occupent ainsi une chambre continuellement avec de surcroît, la certitude de faire des affaires le jour comme la nuit.
Dans la plus célèbre auberge de la zone de Yoff, People.sn révèle que les nigérianes qui tiennent le filon reversent la moitié du prix de la passe à la gérance, alors que du côté de Nord Foire, les filles ont la latitude de discuter le prix et de reverser 5 000 francs au petit matin. Un deal gagnant-gagnant entre gérants et prostituées qui prospère partout à Dakar avec, en général, des ramifications de trafic de drogue et blanchissement d’argent.
Désormais en plus d’être un coin pour les adeptes de Bacchus, il faut avoir de la marchandise à proximité et les gérants ne se gênent pas pour proposer des contrats d’un genre particulier aux prostituées qui jouent le jeu. Ainsi, selon une source de People.sn, en dehors des chambres louées à des prix variant entre 7 500 et 10 000 francs, certains gérants proposent des tarifs incluant une fille pour toute une nuit. Cette offre particulière a vite fait l’affaire des filles qui occupent ainsi une chambre continuellement avec de surcroît, la certitude de faire des affaires le jour comme la nuit.
Dans la plus célèbre auberge de la zone de Yoff, People.sn révèle que les nigérianes qui tiennent le filon reversent la moitié du prix de la passe à la gérance, alors que du côté de Nord Foire, les filles ont la latitude de discuter le prix et de reverser 5 000 francs au petit matin. Un deal gagnant-gagnant entre gérants et prostituées qui prospère partout à Dakar avec, en général, des ramifications de trafic de drogue et blanchissement d’argent.