Conséquence, le chauffeur au Ministère des affaires étrangères A. Sow s’attaque en premier lieu à son ami Mansour. Après quelques échanges de coups de poings avec les deux antagonistes, ils seront séparés par le gérant du bar, L. Lô.
Soudainement, Ch. B. Aidara casse la bouteille de sa bière avant de lancer un tesson à son ami A. Sow et, au moment d’esquiver ce dernier, reçoit l’objet tranchant au niveau de son avant-bras gauche, entraînant la section d’une de ses veines. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, Ch. B. Aidara qui avait fini de perdre complètement le sens de l’orientation, s’empare d’une chaise et la lance à sa victime qui tombe et s’affale par terre.
Légèrement remis de ses blessures A. Sow qui risque de ne pas reprendre de sitôt son travail, dépose une plainte contre son ami pour coups et blessures volontaires ayant entrainé une Itt de 28 jours.
Devant le tribunal des flagrants délits de Dakar ce jeudi, CH. B. Aidara déclare qu’il s’est juste limité à jeter un tesson de bouteille à son ami. « Et, je ne pense pas que ça peut entraîner la section de la veine de son avant-bras gauche. Il s’est battu en premier lieu avec Mansour. Parce qu’on était tous ivres. Je regrette amèrement mon acte », a-t-il souligné.
« C’est lui qui m’a infligé mes blessures. Alors qu’on était assis tranquillement en train de discuter dans le bar. Je n’arrive pas jusqu’à présent, à mouvoir complètement mon bras gauche. Alors que je suis chauffeur. Après m’avoir lancé le tesson de bouteille, il m’a donné un autre coup sur la main avec une chaise. Ce sont les témoins de la scène qui me l’ont dit. Car, je croyais que, c’est un coup de bâton qu’il m’a donné », oppose la partie civile à son ami à la barre.
Le gérant du bar L. Lô quant à lui, soutient qu’il était derrière son comptoir au moment de la première bagarre entre A. Sow et Mansour. Car, précise-t-il, c’est sa caissière qui l’a interpellé. « Lorsque, j’ai séparé les deux antagonistes. Le temps de calmer Mansour dehors même pas deux minutes, j’ai rejoint le bar. Et, j’ai vu du sang gicler sur le bras de la partie civile A. Sow. Ils ont l’habitude de fréquenter ensemble le bar. Comme, ils étaient tous sous l’emprise de l’alcool, ils ont commencés à se bagarrer », a-t-il indiqué.
Le conseil de la partie civile Me Mamadou Tall a par ailleurs, réclamé 3 millions de francs Cfa à titre de dommages et intérêts. « Toutes les blessures de mon client sont imputables au prévenu. Depuis ce jour, la partie civile n’arrive pas à exercer son boulot. Parce qu’il est chauffeur au Ministère des Affaires Etrangères. C’est son avenir qui est en jeu, présentement. Alors qu’il est très jeune », plaide la robe noire.
Le parquetier a requis l’application de la loi. La défense quant à elle a sollicité une application bienveillante de la loi.
Rendant son verdict, le juge a condamné le prévenu à trois mois avec sursis et, à payer un million de francs Cfa à la partie civile.
Soudainement, Ch. B. Aidara casse la bouteille de sa bière avant de lancer un tesson à son ami A. Sow et, au moment d’esquiver ce dernier, reçoit l’objet tranchant au niveau de son avant-bras gauche, entraînant la section d’une de ses veines. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, Ch. B. Aidara qui avait fini de perdre complètement le sens de l’orientation, s’empare d’une chaise et la lance à sa victime qui tombe et s’affale par terre.
Légèrement remis de ses blessures A. Sow qui risque de ne pas reprendre de sitôt son travail, dépose une plainte contre son ami pour coups et blessures volontaires ayant entrainé une Itt de 28 jours.
Devant le tribunal des flagrants délits de Dakar ce jeudi, CH. B. Aidara déclare qu’il s’est juste limité à jeter un tesson de bouteille à son ami. « Et, je ne pense pas que ça peut entraîner la section de la veine de son avant-bras gauche. Il s’est battu en premier lieu avec Mansour. Parce qu’on était tous ivres. Je regrette amèrement mon acte », a-t-il souligné.
« C’est lui qui m’a infligé mes blessures. Alors qu’on était assis tranquillement en train de discuter dans le bar. Je n’arrive pas jusqu’à présent, à mouvoir complètement mon bras gauche. Alors que je suis chauffeur. Après m’avoir lancé le tesson de bouteille, il m’a donné un autre coup sur la main avec une chaise. Ce sont les témoins de la scène qui me l’ont dit. Car, je croyais que, c’est un coup de bâton qu’il m’a donné », oppose la partie civile à son ami à la barre.
Le gérant du bar L. Lô quant à lui, soutient qu’il était derrière son comptoir au moment de la première bagarre entre A. Sow et Mansour. Car, précise-t-il, c’est sa caissière qui l’a interpellé. « Lorsque, j’ai séparé les deux antagonistes. Le temps de calmer Mansour dehors même pas deux minutes, j’ai rejoint le bar. Et, j’ai vu du sang gicler sur le bras de la partie civile A. Sow. Ils ont l’habitude de fréquenter ensemble le bar. Comme, ils étaient tous sous l’emprise de l’alcool, ils ont commencés à se bagarrer », a-t-il indiqué.
Le conseil de la partie civile Me Mamadou Tall a par ailleurs, réclamé 3 millions de francs Cfa à titre de dommages et intérêts. « Toutes les blessures de mon client sont imputables au prévenu. Depuis ce jour, la partie civile n’arrive pas à exercer son boulot. Parce qu’il est chauffeur au Ministère des Affaires Etrangères. C’est son avenir qui est en jeu, présentement. Alors qu’il est très jeune », plaide la robe noire.
Le parquetier a requis l’application de la loi. La défense quant à elle a sollicité une application bienveillante de la loi.
Rendant son verdict, le juge a condamné le prévenu à trois mois avec sursis et, à payer un million de francs Cfa à la partie civile.