Ayant convoqué la presse pour des éclaircissements, le président du conseil d’administration Madiambal Diagne déclare être dans une logique de dialogue avec l’Etat du Sénégal.
« Au début, les autorités ne parlaient que de la sécurité publique mais dans la notification, cela n’est nullement indiqué. Nous n’acceptons pas que Maarif dirige cette école. Nous ne sommes pas dans une logique de dédommagement. Nous sommes ouverts au dialogue et nous allons faire prévaloir nos droits ».
L’avocat du groupe Maître Boucounta Cissé souligne que dans l’arrêté, le but visé est la fermeture de l’établissement et sa remise à d’autres mains, un détournement de pouvoir, selon lui. C’est pour cela qu’il promet, « nous allons saisir la Cour Suprême pour un recours en annulation pour excès de pouvoir.
L’Etat sait que ce sont des milliards qui ont été investis ici. Pour des aéroports que l’on nous promet, cela ne vaut pas la peine de vendre notre âme au diable », se désole l’avocat. Associé à la démarche, le mouvement « Y en a marre », par le biais de son coordonnateur Fadel Barro se dit indigné de cette décision de l’Etat. « C’est le combat des Sénégalais et c’est une question de souveraineté, ce sont les valeurs qui construisent un pays », soutient-il.
Source l'AS
« Au début, les autorités ne parlaient que de la sécurité publique mais dans la notification, cela n’est nullement indiqué. Nous n’acceptons pas que Maarif dirige cette école. Nous ne sommes pas dans une logique de dédommagement. Nous sommes ouverts au dialogue et nous allons faire prévaloir nos droits ».
L’avocat du groupe Maître Boucounta Cissé souligne que dans l’arrêté, le but visé est la fermeture de l’établissement et sa remise à d’autres mains, un détournement de pouvoir, selon lui. C’est pour cela qu’il promet, « nous allons saisir la Cour Suprême pour un recours en annulation pour excès de pouvoir.
L’Etat sait que ce sont des milliards qui ont été investis ici. Pour des aéroports que l’on nous promet, cela ne vaut pas la peine de vendre notre âme au diable », se désole l’avocat. Associé à la démarche, le mouvement « Y en a marre », par le biais de son coordonnateur Fadel Barro se dit indigné de cette décision de l’Etat. « C’est le combat des Sénégalais et c’est une question de souveraineté, ce sont les valeurs qui construisent un pays », soutient-il.
Source l'AS