Dès la matinée de ce lundi, on annonçait sur le tronçon Mermoz-Ouakam la mort d'un conducteur de Jakarta, tué sur le coup par un camion qui roulait aussi à vive allure. Ce dernier n'avait aucune chance.
Le même sort a été réservé cette fois-ci du côté de Orange, sise à la Cité Keur Gorgui, au niveau du pont. Le Jakartaman , a heurté la caisse du camion violement. Il est ensuite projeté vers un autre véhicule particulier qui ne lui a laissé aucune chance.
Et vers 17h30, un autre malheureux conducteur de deux roues, de l'autre sens, allant du Supermarché vers le cimetière Saint-Lazare, trouve la mort. Il a été heurté de plein fouet par un camion de sable qui l'a traîné ensuite sur une bonne distance. La victime a été retrouvée sous le gros porteur et en attendant l'arrivée des sapeurs pompiers, les témoins de l'accident étaient obligés de le recouvrir avec des sacs en plastique. Inerte. Mort sur le coup.
On savait que la rue tue. Maintenant, c'est devenu tellement banal qu'il urge d'organiser des assises de la route. Les conducteurs de deux roues ne diront pas le contraire, tués comme des mouches. Et ce, depuis la prolifération du commerce Thiak-Thiak.
Le même sort a été réservé cette fois-ci du côté de Orange, sise à la Cité Keur Gorgui, au niveau du pont. Le Jakartaman , a heurté la caisse du camion violement. Il est ensuite projeté vers un autre véhicule particulier qui ne lui a laissé aucune chance.
Et vers 17h30, un autre malheureux conducteur de deux roues, de l'autre sens, allant du Supermarché vers le cimetière Saint-Lazare, trouve la mort. Il a été heurté de plein fouet par un camion de sable qui l'a traîné ensuite sur une bonne distance. La victime a été retrouvée sous le gros porteur et en attendant l'arrivée des sapeurs pompiers, les témoins de l'accident étaient obligés de le recouvrir avec des sacs en plastique. Inerte. Mort sur le coup.
On savait que la rue tue. Maintenant, c'est devenu tellement banal qu'il urge d'organiser des assises de la route. Les conducteurs de deux roues ne diront pas le contraire, tués comme des mouches. Et ce, depuis la prolifération du commerce Thiak-Thiak.