Face à l’achèvement non effective du bitumage de la route de Kounoune, les populations ont élevé la voix pour protester contre les lenteurs des travaux.
Thierno Ousmane Sow, porte-parole des populations, intervenu sur les ondes d’Iradio, regrette que les promesses n’ont pas été tenues. A l'en croire, le directeur des travaux leur avait assuré que les travaux allaient durer 3 mois et aujourd’hui, « nous sommes au mois de décembre. 1 an après, les travaux ne sont pas encore achevés. Nous déplorons cela parce que nous avons enregistrés beaucoup d’inondations dans les maisons avec des conséquences qui sont désastreuses », a-t-il renseigné. En outre, ils réclament un lycée moderne. « L’autre point c’est par rapport à un lycée. Nous constatons que le lycée de Kounoune polarise un Cem en même temps et nous avons un effectif de plus de 1800 élèves répartis dans des classes de sixième avec un effectif de 120, des classes de seconde et de première avec des effectifs de 85 voire 90 et on a dit que ça ne suffit pas parce que la population grandit de jour en jour. Et ils ont aussi l’obligation scolaire. », affirme-t-il.
Par ailleurs, ils dénoncent les tentatives de sabotage de leur combat par certaines autorités. « Si on est en négociation pour trouver des solutions, il faut éviter toute sorte de sabotage et on a vu hier que des équipes ont été montées pour venir là et dire à la population que la route va commencer très bientôt. Nous fustigeons cela parce qu’ils sont au courant que nous allons marcher aujourd’hui », dit-il.
Thierno Ousmane Sow, porte-parole des populations, intervenu sur les ondes d’Iradio, regrette que les promesses n’ont pas été tenues. A l'en croire, le directeur des travaux leur avait assuré que les travaux allaient durer 3 mois et aujourd’hui, « nous sommes au mois de décembre. 1 an après, les travaux ne sont pas encore achevés. Nous déplorons cela parce que nous avons enregistrés beaucoup d’inondations dans les maisons avec des conséquences qui sont désastreuses », a-t-il renseigné.
Par ailleurs, ils dénoncent les tentatives de sabotage de leur combat par certaines autorités. « Si on est en négociation pour trouver des solutions, il faut éviter toute sorte de sabotage et on a vu hier que des équipes ont été montées pour venir là et dire à la population que la route va commencer très bientôt. Nous fustigeons cela parce qu’ils sont au courant que nous allons marcher aujourd’hui », dit-il.