L’association féministe JGEN Sénégal, dont la présidente est la consultante nationale de PP Global, dans le processus de mobilisation des acteurs et actrices stratégiques autour du plaidoyer pour l’avortement sécurisé, tient un atelier de partages autour du projet de loi relative à la problématique.
Cet atelier a pour objectif d’élaborer une nouvelle stratégie de communication, pour une meilleure appropriation du projet de loi.
A en croire, "leSoleil.sn", Maimouna Asta Yade, présidente de JGEN Sénégal, est d’avis que les femmes ayant subi un viol ou victime d’inceste au Sénégal, doivent pouvoir avorter. Ainsi, il faut engager les communautés. « L’avortement existe au Sénégal, on le sait. Les femmes trouvent un moyen pour avorter mais le blocage, c’est en rapport avec les femmes violées et victimes d’inceste. Nous devons avoir une stratégie de communication pour accompagner le projet de loi et le plaidoyer et donner un nouveau visage au plaidoyer », estime Maïmouna Yade.
La Task Force, représentée par PP Global, a émis des axes de réflexions pouvant constituer le projet de loi. « On propose de maintenir la loi sur l’interdiction de l’avortement, mais le fond est de ne pas emprisonner celles qui ont interrompu leur grossesse, suite à un viol ou un inceste », note PP Global, leader de la Task Force, avant d’ajouter que pour déjouer les longues procédures, elle propose une procédure d’urgence.
«Ceci permet d’établir le viol, en attendant l’instruction, car ça peut prendre du temps avec la criminalisation du viol. En moins de dix jours, nous pouvons établir l’ordonnance d’avortement médicalisé par le juge ».
Cet atelier a pour objectif d’élaborer une nouvelle stratégie de communication, pour une meilleure appropriation du projet de loi.
A en croire, "leSoleil.sn", Maimouna Asta Yade, présidente de JGEN Sénégal, est d’avis que les femmes ayant subi un viol ou victime d’inceste au Sénégal, doivent pouvoir avorter. Ainsi, il faut engager les communautés. « L’avortement existe au Sénégal, on le sait. Les femmes trouvent un moyen pour avorter mais le blocage, c’est en rapport avec les femmes violées et victimes d’inceste. Nous devons avoir une stratégie de communication pour accompagner le projet de loi et le plaidoyer et donner un nouveau visage au plaidoyer », estime Maïmouna Yade.
La Task Force, représentée par PP Global, a émis des axes de réflexions pouvant constituer le projet de loi. « On propose de maintenir la loi sur l’interdiction de l’avortement, mais le fond est de ne pas emprisonner celles qui ont interrompu leur grossesse, suite à un viol ou un inceste », note PP Global, leader de la Task Force, avant d’ajouter que pour déjouer les longues procédures, elle propose une procédure d’urgence.
«Ceci permet d’établir le viol, en attendant l’instruction, car ça peut prendre du temps avec la criminalisation du viol. En moins de dix jours, nous pouvons établir l’ordonnance d’avortement médicalisé par le juge ».