La fusillade a éclaté vers 20h dans le centre historique de Vienne près d'une synagogue. La police fait état de plusieurs assaillants armés de fusils et indique que six lieux différents ont été visés. Selon le dernier bilan, l'attaque a fait au moins trois victimes, dont un passant et une femme décédée de ses blessures.
Plusieurs blessés sont également à déplorer, parmi lesquels un officier de police. Un des assaillants a été abattu par la police et ce lundi soir, « au moins un suspect » était toujours en fuite, a indiqué le ministre de l'Intérieur Karl Nehammer.
Un témoin, interrogé sur une chaîne de télévision, a dit avoir vu « courir une personne avec une arme automatique, qui tirait sauvagement ». La police est alors arrivée sur les lieux et a riposté, un autre témoin faisant état « d'au moins 50 coups de feu ».
« À ce stade, il n'est pas possible de dire si la synagogue était visée », a réagi sur Twitter Oskar Deutsch, le président de la communauté israélite de Vienne. Il indique que l'établissement religieux était fermé lorsque la fusillade a éclaté.
Plusieurs vidéos circulent sur les réseaux sociaux avec des images de course-poursuite et de mouvements de panique, mais la police appelle à ne pas les diffuser. Une grande prudence s'impose, car ces vidéos n'ont pas encore été authentifiées.
Le chancelier Sebastian Kurz a dénoncé « une attaque terroriste répugnante ». L'Union européenne « condamne avec force » un « acte lâche », a réagi le président du Conseil européen Charles Michel. « Nous ne céderons rien », a tweeté le président français Emmanuel Macron, tandis que le ministère allemand des Affaires étrangères a appelé à « ne pas céder à la haine ».
Cette nouvelle attaque, dans une ville où la criminalité est habituellement très faible, intervient dans un climat très tendu en Europe. En France, trois personnes ont été tuées jeudi dans une attaque au couteau à la basilique Notre-Dame-de-l'Assomption de Nice (sud-est) par un jeune Tunisien fraîchement arrivé en Europe. Quelques jours auparavant, la décapitation de Samuel Paty, professeur d'histoire qui avait montré des caricatures de Mahomet à ses élèves dans un cours sur la liberté d'expression, avait choqué au-delà de la France et plongé le monde enseignant dans l'effroi et la sidération.
Plusieurs blessés sont également à déplorer, parmi lesquels un officier de police. Un des assaillants a été abattu par la police et ce lundi soir, « au moins un suspect » était toujours en fuite, a indiqué le ministre de l'Intérieur Karl Nehammer.
Un témoin, interrogé sur une chaîne de télévision, a dit avoir vu « courir une personne avec une arme automatique, qui tirait sauvagement ». La police est alors arrivée sur les lieux et a riposté, un autre témoin faisant état « d'au moins 50 coups de feu ».
« À ce stade, il n'est pas possible de dire si la synagogue était visée », a réagi sur Twitter Oskar Deutsch, le président de la communauté israélite de Vienne. Il indique que l'établissement religieux était fermé lorsque la fusillade a éclaté.
Plusieurs vidéos circulent sur les réseaux sociaux avec des images de course-poursuite et de mouvements de panique, mais la police appelle à ne pas les diffuser. Une grande prudence s'impose, car ces vidéos n'ont pas encore été authentifiées.
Le chancelier Sebastian Kurz a dénoncé « une attaque terroriste répugnante ». L'Union européenne « condamne avec force » un « acte lâche », a réagi le président du Conseil européen Charles Michel. « Nous ne céderons rien », a tweeté le président français Emmanuel Macron, tandis que le ministère allemand des Affaires étrangères a appelé à « ne pas céder à la haine ».
Cette nouvelle attaque, dans une ville où la criminalité est habituellement très faible, intervient dans un climat très tendu en Europe. En France, trois personnes ont été tuées jeudi dans une attaque au couteau à la basilique Notre-Dame-de-l'Assomption de Nice (sud-est) par un jeune Tunisien fraîchement arrivé en Europe. Quelques jours auparavant, la décapitation de Samuel Paty, professeur d'histoire qui avait montré des caricatures de Mahomet à ses élèves dans un cours sur la liberté d'expression, avait choqué au-delà de la France et plongé le monde enseignant dans l'effroi et la sidération.