Actionnaire majoritaire de Sonatel, France Telecom a finalement cédé au bras de fer qui l’opposait à l’Etat du Sénégal par rapport à l’attribution de la 4G. La société française a accepté de casquer 100 milliards de FCfa. Mais n’a pas manqué de dicter ses conditions tels que le renouvellement de sa licence qui arrive à terme en 2017, l’expulsion d’Aziz Mbaye, conseiller en Tic du président de la République, de Mamadou Sarr, Directeur de Cabinet du ministre du Budget, et même d’un cadre de l’armée. Ainsi, cette action du groupe France Telecom met fin au débat de "rébellion des opérateurs" qui avaient refusé d’obtempérer avec l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp).
Pour rappel, l’Artp avait réclamé 30 milliards FCfa à chaque opérateur de téléphonie (Sonatel, Tigo, Expresso) opérant au Sénégal. Exigence qui avait fini de fâcher ces opérateurs, et s’y était ensuivie une vague de rébellion. Maintenant, voici que le géant des télécommunications vient doubler ses concurrents.
Cet accord n’a pas encore fini de livrer ses secrets. Car, figurez-vous que, d’après le journal L’Observateur, repris par senego.com, Cheikh Tidiane Mbaye, ancien directeur général du groupe Sonatel, va être éjecté de son mandat d’administrateur pour le compte de la société. Ainsi, l’Assemblée nationale devrait se réunir prochainement pour adopter une loi de finance rectificative afin de valider la rentrée des 100 milliards.
Pour rappel, l’Artp avait réclamé 30 milliards FCfa à chaque opérateur de téléphonie (Sonatel, Tigo, Expresso) opérant au Sénégal. Exigence qui avait fini de fâcher ces opérateurs, et s’y était ensuivie une vague de rébellion. Maintenant, voici que le géant des télécommunications vient doubler ses concurrents.
Cet accord n’a pas encore fini de livrer ses secrets. Car, figurez-vous que, d’après le journal L’Observateur, repris par senego.com, Cheikh Tidiane Mbaye, ancien directeur général du groupe Sonatel, va être éjecté de son mandat d’administrateur pour le compte de la société. Ainsi, l’Assemblée nationale devrait se réunir prochainement pour adopter une loi de finance rectificative afin de valider la rentrée des 100 milliards.
