« Nous avons constaté récemment la parution d’articles de presse citant le « Ndiambour» Hôtel et résidence, comme lieu de séjour des présumés complices des attentats de Grand Bassam et Ouagadougou, en 2016. Après avoir mené toutes les investigations nécessaires, la direction de l’hôtel conteste vigoureusement cette information et affirme que les personnes citées dans l’article de presse n’ont jamais séjourné à l’hôtel », a indiqué la direction.
Avant de poursuivre : « la direction déplore de manière formelle la publication de cette information, sans qu’une vérification préalable n’ait été faite auprès de ses services compétents. Nous réaffirmons à notre clientèle que depuis son ouverture, le Ndiambour Hôtel et résidence a toujours mis en place un dispositif rigoureux afin de garantir leur sécurité ».
S’agissant des faits, les accusés Erhil Adébé, Moustapha El Béchir et El Atigh Ahmed Mahmoud ont comparu, dernièrement, à la barre de la chambre criminelle spéciale de Dakar pour répondre des crimes de complicité d’actes terroristes, association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et financement du terrorisme en bande organisée. Ces derniers sont suspectés d’avoir été en contact avec les organisateurs des attentats.
Et, il est ressorti des débats d’audience que le 18 septembre 2016, la Section de recherches de Colobane est informée de la présence, à Diamniadio, d’une personne porteuse du fameux numéro. Le transport effectué sur les lieux permettait l’interpellation de l’individu, El Atigh Ahmed Mahmoud. Soumis au feu roulant des questions, ce dernier informait être en possession de la puce depuis le samedi 17 septembre 2016 et qu’elle lui aurait été offerte par un inconnu de nationalité mauritanienne qui se rendait à Nouakchott.
L’exploitation du téléphone d’el Atigh permettait d’établir plusieurs communications entre lui et Ibrahim Ould Mohamed. El Atigh était écroué à Saint-Louis pour association de malfaiteurs, complicité de vol en réunion commis la nuit avec violence et usage d’armes lors de l’attaque du Grand Bassam.
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Rewmi
Avant de poursuivre : « la direction déplore de manière formelle la publication de cette information, sans qu’une vérification préalable n’ait été faite auprès de ses services compétents. Nous réaffirmons à notre clientèle que depuis son ouverture, le Ndiambour Hôtel et résidence a toujours mis en place un dispositif rigoureux afin de garantir leur sécurité ».
S’agissant des faits, les accusés Erhil Adébé, Moustapha El Béchir et El Atigh Ahmed Mahmoud ont comparu, dernièrement, à la barre de la chambre criminelle spéciale de Dakar pour répondre des crimes de complicité d’actes terroristes, association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et financement du terrorisme en bande organisée. Ces derniers sont suspectés d’avoir été en contact avec les organisateurs des attentats.
Et, il est ressorti des débats d’audience que le 18 septembre 2016, la Section de recherches de Colobane est informée de la présence, à Diamniadio, d’une personne porteuse du fameux numéro. Le transport effectué sur les lieux permettait l’interpellation de l’individu, El Atigh Ahmed Mahmoud. Soumis au feu roulant des questions, ce dernier informait être en possession de la puce depuis le samedi 17 septembre 2016 et qu’elle lui aurait été offerte par un inconnu de nationalité mauritanienne qui se rendait à Nouakchott.
L’exploitation du téléphone d’el Atigh permettait d’établir plusieurs communications entre lui et Ibrahim Ould Mohamed. El Atigh était écroué à Saint-Louis pour association de malfaiteurs, complicité de vol en réunion commis la nuit avec violence et usage d’armes lors de l’attaque du Grand Bassam.
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