Suite à l'attaque contre le centre culturel et scientifique russe de Kiev survenu dans la nuit du 26 au 27 août, l'ambassade de la Fédération de la Russie a rendu public un communiqué. en effet, selon le document signé par Maria Zakharova, porte-parole du Ministère russe des Affaires étrangères, c'est sur la base d'un plan méticuleusement préparé, qu'un groupe d'extrême droite a causé des dégâts considérables au bâtiment. "De jeunes gens agressifs scandant des slogans nationalistes et xénophobes ont jeté des fumigènes vers le bâtiment et recouvert ses murs de devises antirusses, pour ensuite partir sans rencontrer aucune résistance" a informé le document.
Selon la représentation diplomatique, "Cette action était évidemment bien préparée et constitue une nouvelle manifestation de l'hystérie russophobe qui gagne de l'ampleur en Ukraine".
"Nous soulignons l'inaction étonnante des forces de l'ordre ukrainiennes, dont la complicité a permis à ces radicaux de mettre en œuvre leur opération nocturne. Cet événement est encore plus étrange quand on sait que les représentants de l'agence fédérale Rossotroudnitchestvo ont rencontré les chefs des départements des forces de l'ordre ukrainiennes afin d'assurer la sécurité du Centre", dénonce le document qui ajoute que Moscou exige que la partie ukrainienne "respecte tous ses engagements internationaux". "Cela implique notamment, en conformité avec la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques, de garantir la sécurité des institutions russes sur son territoire", indique le document qui trouve que "les autorités ukrainiennes doivent réaliser que leur complaisance avec les radicaux et leurs activités illégales peut avoir des répercussions très graves".
Selon la représentation diplomatique, "Cette action était évidemment bien préparée et constitue une nouvelle manifestation de l'hystérie russophobe qui gagne de l'ampleur en Ukraine".
"Nous soulignons l'inaction étonnante des forces de l'ordre ukrainiennes, dont la complicité a permis à ces radicaux de mettre en œuvre leur opération nocturne. Cet événement est encore plus étrange quand on sait que les représentants de l'agence fédérale Rossotroudnitchestvo ont rencontré les chefs des départements des forces de l'ordre ukrainiennes afin d'assurer la sécurité du Centre", dénonce le document qui ajoute que Moscou exige que la partie ukrainienne "respecte tous ses engagements internationaux". "Cela implique notamment, en conformité avec la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques, de garantir la sécurité des institutions russes sur son territoire", indique le document qui trouve que "les autorités ukrainiennes doivent réaliser que leur complaisance avec les radicaux et leurs activités illégales peut avoir des répercussions très graves".