« Ce n'est point l'habit du Vénéré Saint Khadim Rassoul qui a été remis en cause, mais la force avec laquelle il a pu imposer la culture islamique noire et a su l'étendre à travers le monde. Le combat est purement psychologique et plus dangereux que le djihadisme auquel nous faisons face aujourd'hui.» Ces propos du député Cheikh Oumar Sy prouvent à satiété que l’islam est une religion qui dérange les athées, les francs maçons et les occidentaux.
Sa propagation à travers le monde est une réalité insupportable pour les cerbères occidentaux et certains intellectuels à sa botte. DAMIEN GLEZ est un petit caricaturiste qui sévit dans le journal satirique burkinabé « le journal du jeudi ». Ayant vécu quatre années durant au Burkina Faso son œuvre, nus avons pu analyser ces dessins toutes les semaines. La vulgarité est sa marque de fabrique. Ce piètre aventurier serait un anonyme petit dessinateur dans un obscur torchon en France s’il n’avait pas choisi l’émigration économique c’est à vivre à Ouagadougou. Il n’atteindra jamais la profondeur et la finesse d’un Cabu du « Canard enchaîné » tombé sous les balles des terroristes lors de l’attentat contre « Charlie Hebdo ». Un caricaturiste n’est ni un journaliste ni un éditorialiste. Il doit se cantonner à son métier auquel une formation aux Beaux arts le prédestine. Le journalisme, c’est l’éthique et la déontologie qui prédisposent le journaliste à respecter les croyances de l’autre quel qu’elles soient. Damien Glez n’a pas fréquenté une école de journalisme digne de ce nom sinon il n’aurait jamais commis cet impair .Quel rapport entre le sac à main de cet artiste efféminé de Wally Seck et l’immaculé caftan de Serigne Touba qu’il compare sans sourciller à une robe ? Aucun. Si ce n’est la volonté de nuire à l’image du vénéré Cheikh dont la philosophie s’adosse à la piété et à l’ancrage dans nos valeurs ancestrales. Adepte d’un islam noir et confrérique tournant le dos au rigorisme wahhabite. Toute sa vie durant, le père de Serigne Mouhamed Fadel s’est battu contre l’occidentalisation, le mimétisme insensé et les anti-valeurs. C’est ce grand homme que ce petit dessinateur a osé s’attaquer avec la complicité de la direction de l’hebdomadaire Jeune Afrique sur son site internet. Cette agression n’est pas gratuite. Selon les chiffres du Vatican, l’islam est la seule religion qui progresse ( Cinq milliards de musulmans) au moment où les églises et les synagogues se vident de leurs fidèles. Son économie solidaire, son refus de la consommation de l’alcool et du porc n’agréent pas les multinationales agro alimentaires. La propagation de l’islam est un frein à leurs ambitions économiques démesurées. Leurs parts de marchés en pâtissent. Les cheikhs sont les socles de nos valeurs socioreligieuses. Leur agression symbolise leur aversion contre cette belle religion que les adeptes de la franc-maçonnerie, de l’épicurisme, de la luxure et l’homosexualité vouent aux gémonies ; ils demeurent les chevaux de Troie de ce honteux irrespect envers l’islam et ses leaders de par le monde. La communauté mouride est très tolérante et sait pardonner comme l’a prouvé le Cheikh lors de son retour d’exil. Mais, les transgresseurs et les insulteurs de l’islam et ses vénérés cheikhs finissent toujours par payer la facture. Que ce vulgaire dessinateur, Damien Glez , se le tienne pour dit.
E. Momar WADE
Journaliste
Sa propagation à travers le monde est une réalité insupportable pour les cerbères occidentaux et certains intellectuels à sa botte. DAMIEN GLEZ est un petit caricaturiste qui sévit dans le journal satirique burkinabé « le journal du jeudi ». Ayant vécu quatre années durant au Burkina Faso son œuvre, nus avons pu analyser ces dessins toutes les semaines. La vulgarité est sa marque de fabrique. Ce piètre aventurier serait un anonyme petit dessinateur dans un obscur torchon en France s’il n’avait pas choisi l’émigration économique c’est à vivre à Ouagadougou. Il n’atteindra jamais la profondeur et la finesse d’un Cabu du « Canard enchaîné » tombé sous les balles des terroristes lors de l’attentat contre « Charlie Hebdo ». Un caricaturiste n’est ni un journaliste ni un éditorialiste. Il doit se cantonner à son métier auquel une formation aux Beaux arts le prédestine. Le journalisme, c’est l’éthique et la déontologie qui prédisposent le journaliste à respecter les croyances de l’autre quel qu’elles soient. Damien Glez n’a pas fréquenté une école de journalisme digne de ce nom sinon il n’aurait jamais commis cet impair .Quel rapport entre le sac à main de cet artiste efféminé de Wally Seck et l’immaculé caftan de Serigne Touba qu’il compare sans sourciller à une robe ? Aucun. Si ce n’est la volonté de nuire à l’image du vénéré Cheikh dont la philosophie s’adosse à la piété et à l’ancrage dans nos valeurs ancestrales. Adepte d’un islam noir et confrérique tournant le dos au rigorisme wahhabite. Toute sa vie durant, le père de Serigne Mouhamed Fadel s’est battu contre l’occidentalisation, le mimétisme insensé et les anti-valeurs. C’est ce grand homme que ce petit dessinateur a osé s’attaquer avec la complicité de la direction de l’hebdomadaire Jeune Afrique sur son site internet. Cette agression n’est pas gratuite. Selon les chiffres du Vatican, l’islam est la seule religion qui progresse ( Cinq milliards de musulmans) au moment où les églises et les synagogues se vident de leurs fidèles. Son économie solidaire, son refus de la consommation de l’alcool et du porc n’agréent pas les multinationales agro alimentaires. La propagation de l’islam est un frein à leurs ambitions économiques démesurées. Leurs parts de marchés en pâtissent. Les cheikhs sont les socles de nos valeurs socioreligieuses. Leur agression symbolise leur aversion contre cette belle religion que les adeptes de la franc-maçonnerie, de l’épicurisme, de la luxure et l’homosexualité vouent aux gémonies ; ils demeurent les chevaux de Troie de ce honteux irrespect envers l’islam et ses leaders de par le monde. La communauté mouride est très tolérante et sait pardonner comme l’a prouvé le Cheikh lors de son retour d’exil. Mais, les transgresseurs et les insulteurs de l’islam et ses vénérés cheikhs finissent toujours par payer la facture. Que ce vulgaire dessinateur, Damien Glez , se le tienne pour dit.
E. Momar WADE
Journaliste