L’Etat islamique a officiellement revendiqué, dans un communiqué, la responsabilité des attentats de vendredi à Paris et Saint-Denis qui ont fait au moins 128 morts et une centaine de blessés. Le groupe djihadiste a évoqué, dans son communiqué, une opération « minutieusement » préparée et la participation de la France aux bombardement en Syrie et des « insultes faites au prophète Mahomet ».
François Hollande avait, peu avant, directement évoqué la responsabilité de « Daesh », l’acronyme arabe de l’Etat islamique, promettant que « la France sera impitoyable à l’égard des barbares ». Il a décrété un deuil national de trois jours et annoncé que « tous les dispositifs » de sécurité seront renforcés à leur niveau maximum.
« Ce qui s’est produit hier à Paris et à Saint-Denis est un acte de guerre, et, face à la guerre, le pays doit prendre les décisions appropriées. Un acte commis par une armée terroriste, Daesh, contre ce que nous sommes, un pays libre qui parle à l’ensemble de la planète. Un acte de guerre préparé, planifié, de l’extérieur, avec des complicités extérieures que l’enquête permettra d’établir. Un acte d’une barbarie absolue. »
« La France est forte et, même si elle peut être blessée, elle se lève toujours. Rien ne pourra l’éteindre », a ajouté le chef de l’Etat, qui s’adressera le 16 novembre au deux chambres du Parlement réunies en Congrès à Versailles.
lemonde.fr
François Hollande avait, peu avant, directement évoqué la responsabilité de « Daesh », l’acronyme arabe de l’Etat islamique, promettant que « la France sera impitoyable à l’égard des barbares ». Il a décrété un deuil national de trois jours et annoncé que « tous les dispositifs » de sécurité seront renforcés à leur niveau maximum.
« Ce qui s’est produit hier à Paris et à Saint-Denis est un acte de guerre, et, face à la guerre, le pays doit prendre les décisions appropriées. Un acte commis par une armée terroriste, Daesh, contre ce que nous sommes, un pays libre qui parle à l’ensemble de la planète. Un acte de guerre préparé, planifié, de l’extérieur, avec des complicités extérieures que l’enquête permettra d’établir. Un acte d’une barbarie absolue. »
« La France est forte et, même si elle peut être blessée, elle se lève toujours. Rien ne pourra l’éteindre », a ajouté le chef de l’Etat, qui s’adressera le 16 novembre au deux chambres du Parlement réunies en Congrès à Versailles.
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