Aïssata Bâ a perdu sa fille cadette, Oumou Diallo, âgée de 7 ans, dans l’attaque du bus au cocktail molotov à Yarakh mardi dernier. “Recouverte d’un voile noir qui lui couvre tout le corps, Aïssata Bâ souffre le martyr. Les larmes coulent sur ses joues”, confie L’Observateur.
La maman éplorée a été trouvée assise sur un banc en bois devant son domicile, égrenant son chapelet, presqu’indifférente aux mots réconfortants des voisins. “Malgré son jeune âge, c’était ma complice. Elle n’était pas inscrite à l’école. Donc, on passait toute la journée ensemble”, lâche-t-elle.
D’après L’Obs, c’est Aïssata Ba, qui a conduit sa fille jusqu’à l’arrêt de la ligne 65 en partance pour Kounoune. C’est après qu’elle a été informée de l’attaque par son beau-frère. “Nous l’attendions mardi. Quand on m’a annoncé la nouvelle, c’était comme si la terre s’était arrêtée de tourner. C’était très difficile. Mais, je m’en remets à la volonté divine”, rembobine-t-elle, en larmes.
Elle enchaîne : “Perdre un enfant est la pire chose qui peut arriver à une mère. Oumy était ma joie de vivre, mon existence. Elle est partie à jamais”.
Avec Seneweb
La maman éplorée a été trouvée assise sur un banc en bois devant son domicile, égrenant son chapelet, presqu’indifférente aux mots réconfortants des voisins. “Malgré son jeune âge, c’était ma complice. Elle n’était pas inscrite à l’école. Donc, on passait toute la journée ensemble”, lâche-t-elle.
D’après L’Obs, c’est Aïssata Ba, qui a conduit sa fille jusqu’à l’arrêt de la ligne 65 en partance pour Kounoune. C’est après qu’elle a été informée de l’attaque par son beau-frère. “Nous l’attendions mardi. Quand on m’a annoncé la nouvelle, c’était comme si la terre s’était arrêtée de tourner. C’était très difficile. Mais, je m’en remets à la volonté divine”, rembobine-t-elle, en larmes.
Elle enchaîne : “Perdre un enfant est la pire chose qui peut arriver à une mère. Oumy était ma joie de vivre, mon existence. Elle est partie à jamais”.
Avec Seneweb