Six jours après l’attaque de Boffa Bayottes qui a fait 13 morts et 7 blessés, l’Armée poursuit ses opération de «ratissage » dans la zone pour débusquer les auteurs. Lesquels se seraient repliés dans les villages frontaliers avec la Guinée-Bissau dont Kassolol qui abrite le Qg de la faction du Mfdc dirigée par César Atoute Badiate. Ce dernier est d’ailleurs est indexé comme étant l’auteur de la tuerie. Des accusations qu’il a démenties via un communiqué publié dans site Internet qui lui sert de propagande.
Il n’empêche, fait remarquer le journal « Le Témoin », l’Armée est déterminée à exercer pleinement pour traquer les «rebelles » coupables de la tuerie jusqu’au-delà de des frontières avec la Guinée-Bissau. Le journal rappelle que les deux pays sont liés par un accord autorisant les militaires sénégalais à poursuivre leurs cibles jusqu’à 10 km à l’intérieur du territoire bissau-guinéen. L’accord a été conclu en 1995.
À ce moment-là , l’Armée menait l’opération «Foudre», lancée contre les bases du Mfdc situées à Santhaba Manjack, Kassalol et Djirack. «Ce droit de poursuite n’a jamais été exécuté par l’Armée sénégalaise pour des raisons politiques, rembobine un ancien commandant de la Zone 5 (Sud), qui s’est confié au journal Le Témoin. Souhaitons que tel ne sera pas le cas cette fois-ci avec le carnage (qui a coûté la vie à ) ces treize pauvres villageois», confie un officier cité par le journal.
Il n’empêche, fait remarquer le journal « Le Témoin », l’Armée est déterminée à exercer pleinement pour traquer les «rebelles » coupables de la tuerie jusqu’au-delà de des frontières avec la Guinée-Bissau. Le journal rappelle que les deux pays sont liés par un accord autorisant les militaires sénégalais à poursuivre leurs cibles jusqu’à 10 km à l’intérieur du territoire bissau-guinéen. L’accord a été conclu en 1995.
À ce moment-là , l’Armée menait l’opération «Foudre», lancée contre les bases du Mfdc situées à Santhaba Manjack, Kassalol et Djirack. «Ce droit de poursuite n’a jamais été exécuté par l’Armée sénégalaise pour des raisons politiques, rembobine un ancien commandant de la Zone 5 (Sud), qui s’est confié au journal Le Témoin. Souhaitons que tel ne sera pas le cas cette fois-ci avec le carnage (qui a coûté la vie à ) ces treize pauvres villageois», confie un officier cité par le journal.