L’insécurité commence à faire partie du quotidien des Mbourois. En effet, à travers le département, des cambriolages avec usage de violence et des vols à main armée sont de plus en plus notés, ces derniers temps. Un grand banditisme qui se généralise peu à peu et qui hante le sommeil des habitants de la Petite Côte.
Cette semaine, c’est le célèbre dispensaire catholique des sœurs de Gandigal qui a été le théâtre d’une attaque à main armée par des malfrats qui sont venus envahir les lieux. Un dispensaire qui tient sa bonne réputation de la qualité des soins dispensés aux populations qui y trouvent un soulagement à leurs maux provenant de plusieurs pathologies.
La scène s’est déroulée le 23 août dernier dans la nuit. Vers 3 h du matin, une dizaine de malfaiteurs a pris d’assaut l’hospice. Armés de gourdins, d’armes à feu et de machettes, ils ont assailli les lieux pour commettre leur forfait. Mais les bandits ont trouvé sur leur chemin la témérité du gardien qui leur a tenu tête par une opposition farouche.
Mais le nombre des envahisseurs a eu raison de son courage et de sa témérité. Finalement, l’intrépide gardien est tombé les armes à la main, puisque les malfrats ne l’ont pas raté, en s’acharnant sur lui avec leurs gourdins et leurs machettes. Sérieusement touché, il a été admis en soins intensifs à l’hôpital de Thiès où il séjourne actuellement, les deux bras cassés et la tête entaillée sévèrement.
Les bonnes sœurs ont survécu à cette attaque ignoble, grâce à leurs appels au secours. ‘’Ce qui s’est passé est simplement un acte ignoble, crapuleux, inhumain. Les sœurs doivent aujourd’hui leur vie à leurs cris de détresse qu’elles ont poussés pour alerter le voisinage et lui demander secours. De plus, elles ont allumé toutes les lumières. N'eût été cela, on ne sait pas ce qui serait advenu à l’heure présente’’, renseigne une source.
Ce sont ces cris qui ont dissuadé les bandits qui ont finalement pris la clé des champs.
Enquête
Cette semaine, c’est le célèbre dispensaire catholique des sœurs de Gandigal qui a été le théâtre d’une attaque à main armée par des malfrats qui sont venus envahir les lieux. Un dispensaire qui tient sa bonne réputation de la qualité des soins dispensés aux populations qui y trouvent un soulagement à leurs maux provenant de plusieurs pathologies.
La scène s’est déroulée le 23 août dernier dans la nuit. Vers 3 h du matin, une dizaine de malfaiteurs a pris d’assaut l’hospice. Armés de gourdins, d’armes à feu et de machettes, ils ont assailli les lieux pour commettre leur forfait. Mais les bandits ont trouvé sur leur chemin la témérité du gardien qui leur a tenu tête par une opposition farouche.
Mais le nombre des envahisseurs a eu raison de son courage et de sa témérité. Finalement, l’intrépide gardien est tombé les armes à la main, puisque les malfrats ne l’ont pas raté, en s’acharnant sur lui avec leurs gourdins et leurs machettes. Sérieusement touché, il a été admis en soins intensifs à l’hôpital de Thiès où il séjourne actuellement, les deux bras cassés et la tête entaillée sévèrement.
Les bonnes sœurs ont survécu à cette attaque ignoble, grâce à leurs appels au secours. ‘’Ce qui s’est passé est simplement un acte ignoble, crapuleux, inhumain. Les sœurs doivent aujourd’hui leur vie à leurs cris de détresse qu’elles ont poussés pour alerter le voisinage et lui demander secours. De plus, elles ont allumé toutes les lumières. N'eût été cela, on ne sait pas ce qui serait advenu à l’heure présente’’, renseigne une source.
Ce sont ces cris qui ont dissuadé les bandits qui ont finalement pris la clé des champs.
Enquête