«Des individus sont venus taper à ma porte, hier, et m’ont demandé d’ouvrir. Lorsque je leur ai demandé de décliner leurs identités, ils m’ont répondu qu’ils sont des étrangers. J’ai refusé d’ouvrir et ils ont défoncé la porte. Quand ils sont entrés à l’intérieur, ils ont vu que j’étais armé d’un bâton.
Ils ont commencé à tirer. Je me suis caché derrière la porte. En tirant des coups de feu, ils ont blessé ma femme à la jambe et puis mon fils, qui est mort sur le coup. La balle a touché sa tête», raconte Pape Mané, père de l’enfant de 6 ans, du nom de Mouhamed Mané, lors de l’attaque de la nuit dernière dans le village de Samick, commune de Boutoupa Camaracounda. Il intervenait sur les ondes de la Rfm.
Ils ont commencé à tirer. Je me suis caché derrière la porte. En tirant des coups de feu, ils ont blessé ma femme à la jambe et puis mon fils, qui est mort sur le coup. La balle a touché sa tête», raconte Pape Mané, père de l’enfant de 6 ans, du nom de Mouhamed Mané, lors de l’attaque de la nuit dernière dans le village de Samick, commune de Boutoupa Camaracounda. Il intervenait sur les ondes de la Rfm.